
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
La Commission propose l’application des règles du pays d’origine pour les bénéfices imposables
12 janvier 2006
La Commission européenne a adopté une communication permettant à des entreprises de moins de 250 salariés de calculer leur imposition en fonction des règles en vigueur dans le pays où est domicilié son siège social. Éclairage sur ce qui à bien des égards ressemble à un “Bolkestein fiscal”.
Un communiqué publié sur le site de l’Union européenne, daté de mardi nous apprend que la Commission européenne a adopté une communication dans laquelle elle propose aux États membres de donner la possibilité aux PME de calculer leurs bénéfices imposables selon les règles fiscales de l’État de résidence. Il s’agit d’une expérience facultative qualifiée par Bruxelles de "système pilote". La durée prévue de l’essai est de 5 ans.
Une enquête sur la fiscalité menée par la Commission européenne en 2004 a montré que les activités transfrontalières ont pour effet d’accroître les coûts assumés par les entreprises pour se mettre en conformité avec les règles applicables dans le domaine de l’imposition des sociétés ou de la TVA. Des coûts proportionnellement plus lourds pour les PME qui représentent pourtant quelque 98% des entreprises et 66% des emplois de l’Union européenne. Pour Bruxelles, "une PME souhaitant créer une filiale ou un établissement stable dans un autre État membre aurait donc la possibilité d’utiliser uniquement les règles fiscales qui lui sont déjà familières".
"Contre les entraves fiscales"
En proposant cette mesure, "la Commission estime que le concept d’imposition selon les règles de l’État de résidence constitue un moyen très prometteur de lutter contre les entraves fiscales qui affectent les PME lorsqu’elles étendent leurs activités dans d’autres pays, les plus communes de ces entraves étant les coûts de mise en conformité et l’absence de compensation transfrontalière des pertes", écrit l’institution européenne dans un communiqué. "En mars dernier, les chefs de gouvernement et les États membres ont souligné le rôle essentiel joué par les PME dans le développement économique de l’Union européenne" a déclaré le commissaire européen chargé de la fiscalité et de l’union douanière, Lazslo Kovacs, "c’est pourquoi j’encourage vivement les États membres à saisir cette occasion pour supprimer certains des problèmes liés à la fiscalité qui empêchent les PME de participer au marché intérieur".
L’idée avancée est une reconnaissance mutuelle volontaire des règles fiscales par les États membres de l’UE. Cela signifie que les bénéfices d’un groupe de sociétés actif dans plus d’un État membre seraient calculées selon les règles d’un seul régime d’imposition des sociétés : celui de l’État de résidence de la société mère ou du siège social du groupe. Mais cela ne veut pas dire que les entreprises soient imposées dans ce seul État.
L’idée est que l’assiette de l’impôt de la PME serait calculée selon les règles d’imposition de l’État de résidence, mais chaque État membre participant appliquerait ensuite son propre taux d’imposition à sa part des bénéfices dans l’entreprise.
Seraient concernées par cette initiative facultative pour les États membres et d’une durée expérimentale de 5 ans, les entreprises occupant moins de 250 personnes et dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 50 millions d’euros ou dont le total du bilan annuel ne dépasse pas 43 millions d’euros.
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)