
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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7 juin 2008
L’affaire Bacar est une sombre page de plus à inscrire aux basses œuvres de l’impérialisme français et de ses complices aux Comores.
Les années 1970-1980, marquées par l’action nocive de Bob Denard et de ses mercenaires, sont à cet égard de sinistre mémoire : deux Présidents comoriens assassinés, tortures, intimidations, cadavres jetés pour l’exemple en place publique... Quant au serpent de mer des séparatismes (Mayotte 1975, Anjouan 1996), il n’a cessé de recevoir la bénédiction de l’extrême-droite et des plus hautes autorités de l’Etat français.
C’est fort de ce passif néocolonial que le colonel Bacar a pu s’imposer par la torture et par les armes dans l’île d’Anjouan dès 2001, jusqu’au débarquement de l’Armée Nationale et des contingents de l’Union Africaine le 26 mars 2008.
La suite relève, comme chacun sait, d’une mascarade tragi-comique. Dès le 26 mars et dans les jours qui suivent, une rocambolesque exfiltration de Bacar et de ses barbouzes est grossièrement orchestrée par quelques taupes des réseaux français vers La Réunion via Mayotte. Débute ensuite une hallucinante fiction juridique jouée dans tout ce que La Réunion compte de prétoires, transformés pour l’occasion en tréteaux de Molière. "Il faut sauver le soldat Bacar", tel est le titre de cette farce interprétée sans brio par une compagnie fantoche.
En ce sens, le récent refus de l’OFPRA d’accorder l’asile à Mohamed Bacar relève, sinon d’un camouflé, du moins d’un lapsus : celui d’une sous-traitance politique de sa protection, habilement déléguée à un pays tiers...
Quoi qu’il en soit, le peuple comorien exige que Mohamed Bacar et ses acolytes soient rendus aux autorités de leur pays, l’Union des Comores, pour répondre de leurs actes devant la justice comorienne, en accord avec le mandat d’arrêt international dont le colonel est toujours l’objet et pour lequel l’Union Africaine s’est mobilisée.
Sule Bwana
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