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Comores : Moroni submergée par les ordures
De notre correspondant A. Mohamed
13 mars 2007
Des montagnes d’ordures en attente de ramassage jonchent les rues, et dans certains quartiers, elles débordent sur la voie et bloquent complètement la circulation. Il faut ajouter à cela les difficultés d’approvisionnement en eau et en électricité.
Depuis une semaine, il est difficile de circuler et de respirer dans la capitale. Tous les 5 km, il y a une décharge à ciel ouvert. A la révolte des premiers jours, certains ont dû s’adapter et faire avec, malgré le désagrément et les risques sanitaires. Marahaba, vendeuse assise sur le trottoir du boulevard Karthala, a étalé sur une petite table quelques boîtes de tomates, du sucre en sachet, des cigarettes et des allumettes. Cela fait des années qu’elle occupe la même place. « Je me suis absentée 2 jours à cause des ordures, mais j’ai dû revenir, car c’est ça qui fait vivre ma famille ».
Ce problème s’est déjà présenté en décembre dernier, lorsque les villages proches de la décharge à ciel ouvert de Séléa ont fermé unilatéralement le site. S’il est vrai que la principale raison de cette révolte est le non traitement des déchets, qui entraînait des mouches et autres désagréments, il y a aussi d’obscures raisons politiques et financières.
A l’époque, après une semaine de crise, le gouvernement avait pris la décision d’utiliser une partie de la piste de l’ancien aéroport pour entreposer les ordures. Mais la prolongation de cette solution dite provisoire a soulevé la colère des riverains, qui ont interdit l’accès aux éboueurs.
Conflit de compétence
Cette fois-ci, c’est encore plus grave, car la prolifération des dépotoirs sauvages dans les quartiers de la capitale coïncide avec une rupture de plus en plus marquée de la distribution de l’eau et de l’électricité. Déjà, quelques cas de choléra ont été signalés la semaine dernière. Toutefois, selon des sources hospitalières, l’épidémie a été vite maîtrisée.
Prenant la mesure de la gravité de la situation, le chef de l’Etat est descendu une nouvelle fois de plus sur le terrain, avec l’armée, pour nettoyer la ville. Comme il fallait trouver une décharge dans l’urgence, il a été décidé d’utiliser un terrain privé, appartenant à un membre du gouvernement, loin de toute habitation.
Mais là encore, les villages riverains ont tenté de s’y opposer, et dans les échauffourées avec l’armée, un civil a été grièvement blessé par balle. Par riposte, les villageois s’en sont pris à la première voiture officielle qui passait, et un ministre de l’île autonome de Ngazidja a été passé à tabac.
Younoussa, cadre dans un projet de développement, estime que tout ceci est la faute de cette nouvelle Constitution : « A force de vouloir dépouiller l’Etat de ses prérogatives, on en est arrivé à cette situation ubuesque où chaque village peut s’opposer à la puissance publique. Le Président devrait laisser l’Éxécutif de Ngazidja et la commune de Moroni gérer leur territoire et leurs ordures ».
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Messages
18 mars 2007, 21:14, par Mady
Belle comme une poubelle
Mutsamudu n’est pas épargnée "Yina ntrontro ssoif !"
Si on ne réagit pas de suite pour regler les problemes des ordures dans l’ensemble des grande villes des trois iles comoriennes, les conflits en rapport avec les ordures deviendront plus violents que ceux de la grande comores, et la peste meme va revenir.
Ce probleme des traitements des dechets est parmi les urgences invisibles que tous nos decideurs ignorent.
19 avril 2007, 20:57, par SMS
je ne suis pas spécialiste à la matière, mais juste montre mon point de vue.
prémierement, jusqu’a present aucune solution n’est preconisée ;mais l’issue de ce probleme est la négligence des ministres sur l’orientation des étudints ; car ils sont nombreux à l’étrange.
c’est nul ou quassi nul de trouver un étudiant ou élève dans une formation de gestion d’ordure parcontre ils sont enpagaille dans les finance,douane.....
Deuxiement,