
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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28 avril 2008
Les auteurs des viols, des actes de torture, des assassinants et des portés disparus, des actes d’extorsion de fonds, des exils forcés, de la corruption et du détournement des deniers publics commis à Anjouan ne seront jamais jugés. A ainsi décidé la France. En effet, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a accordé l’asile politique à deux collaborateurs du colonel Bacar, et l’a refusé à six autres qui ont commis des actes graves qui les excluent du bénéfice du statut de réfugié en France. Cependant (coup de théâtre), ces personnes malgré les faits graves commis, ne peuvent pas être renvoyées dans leur pays d’origine car l’OFPRA a estimé que leurs craintes de persécutions étaient fondées. La famille de DJ. Ass, mineure de moins de 16 ans, violée et torturée par les proches collaborateurs de Bacar, la famille du jeune collégien Naoumane Daniel assassiné devant la porte de la résidence de Mohamed Bacar et tous les autres victimes, sont privées de justice par un grand pays dit “démocratique” : LE PAYS DES DROITS DE L’HOMME.
Une résolution législative du Parlement européen sur l’impunité en Afrique (mars 2006) :
- Estime qu’une paix durable n’est pas possible si des marchés sont conclus pour protéger ceux qui se sont rendu responsables de violations systématiques des Droits de l’Homme.
- Considère que les nombreux crimes, y compris crimes contre l’humanité commis par les dictateurs africains et leurs complices, qui restent dans l’impunité, causent ainsi un tort supplémentaire aux proches des victimes et encourageant la perpétration de nouveaux crimes.
Ma grand-mère larmes aux yeux, me lança un jour avant de mourir : « l’impunité d’un dictateur, donne naissance à plusieurs autres, plus violents encore ».
Ne nous réjouissons pas. Attendons-nous au pire. D’autres “Bacar” sont en cours de préparation à Mayotte, et à l’île de La Réunion.
F. Nail
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