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Arriérés de salaires dans la Fonction publique
24 septembre 2004
Le vice-président comorien, Caabi Elyachroutu, a demandé mercredi à des syndicalistes réunis à Moroni de tenir compte de la situation de crise qu’a connue le pays et qui n’a pas permis d’assainir les finances publiques "afin de maintenir la régularité du paiement des salaires".
S’adressant aux participants à un atelier syndical national qui devait prendre fin hier dans la capitale comorienne, Caabi Elyachroutou a beaucoup insisté sur les difficultés actuelles des finances publiques nées principalement de la longue crise institutionnelle dont le pays vient à peine d’émerger. "La situation, qui s’était améliorée au cours des quatre dernières années, a commencé à se dégrader et les arriérés de salaires, jadis oubliés, repartent de plus belle", a notamment dit le vice-président comorien.
Caabi Elyachroutu a admis que les difficultés actuelles risquent d’entraîner une situation de conflit entre les pouvoirs publics et les agents de l’État et pourraient même "hypothéquer la paix sociale". "Je partage l’avis du vice-président", a d’emblée déclaré, de son côté, le secrétaire général du Syndicat national des instituteurs comoriens (SNIC), Salim Soulaïmana. Cependant, a-t-il ajouté, "il n’appartient pas aux agents de l’État de payer les pots cassés. Cette dégradation a une cause et un nom que j’appelle mauvaise gestion et gaspillage des deniers publics".
Le leader syndicaliste a cité, pour appuyer ses thèses, un récent rapport d’audit sur la situation financière qui, a-t-il fait remarquer, a révélé de nombreuses défaillances dans le mécanisme de recouvrement des recettes et de l’engagement des dépenses. "Nous ne saurions accepter d’autres sacrifices", a dit Salim Soulaïmana, visiblement très hostile à ce qu’il a appelé "un système à deux vitesses avec des militaires ne comptabilisant aucun mois d’arriéré et des agents civils de l’État dont le dernier salaire perçu est celui du mois de mai".
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