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Éruption du Karthala en Grande Comore
1er juin 2006
Au Centre national de documentation et de recherches scientifiques (CNDRS), les spécialistes, les yeux rivés sur les sismographes, restent attentifs mais pas inquiets.
L’épaisse fumée incandescente qui s’élève au-dessus de la montagne en projetant une vive lueur est d’une rare beauté. Tout excités, Hichma et Hicham munis de jumelles et d’un appareil photo numérique ne se lassent pas d’admirer ce spectacle divin d’une rare beauté. Il a fallu l’intervention d’un oncle pour qu’ils comprennent que ce rougeoiement du ciel peut être le prélude d’un danger, le danger le plus redouté des Comoriens depuis la nuit des temps. Dans les périphéries de la capitale, la population scrute anxieusement le ciel pour déceler le signe annonciateur de la colère du volcan.
À l’observatoire du volcan situé au CNDRS, les spécialistes décortiquent les signaux envoyés par les capteurs installés aux abords du cratère, sans la moindre panique : "il y a certes une émission de lave, mais le volume de magma est assez faible pour provoquer une éruption de grande envergure qui puisse déborder vers l’extérieur".
Selon Hamidou Nassor, volcanologue basée à La Réunion qui a pu survoler le cratère à bord d’un avion de l’Amisec, la force interafricaine, il s’agit de fontaines de lave qui retombent dans l’ancien cratère.
C’est un discours rassurant que tiennent les volcanologues alors que dans le même temps, ils renforcent la surveillance du site. Pour ce travail permanent et pointu, l’équipe du CNDRS bénéficie d’un soutien humain et technique de l’Observatoire du Volcan à La Réunion et de plusieurs universités françaises.
Rappelons que l’année dernière, deux éruptions phréato-magmatiques ont déversé des tonnes de cendres dans plusieurs localités de la Grande Comore. C’est pourquoi, malgré les assurances des scientifiques, Le Commandant Naoufal Boina, directeur de la sécurité civile, est en train d’affiner son dispositif de prise en charge au cas où.
Et dans les mosquées de l’île, on prie, car certains sont convaincus que ce sont leurs prières qui ont empêché des coulées de lave dévastatrices en avril et en novembre 2005.
M. Aliloifa
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