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Éruption du volcan Karhala aux Comores
28 novembre 2005
L’éruption du volcan Karhala, situé sur l’île de la Grande Comore, survenue jeudi soir se poursuivait samedi avec "moins d’intensité", indique l’Observatoire national du Karthala.
Cette éruption est provoquée par le contact entre le magma avec l’eau d’un lac qui s’était formée dans le cratère du volcan, a expliqué samedi à la PANA le chef de l’Observatoire, Hamid Soulé.
"Les manifestations extérieures ont diminué. Nous continuons de recevoir le signal indiquant que l’activité se poursuit", a-t-il ajouté, indiquant que la coulée de lave formée par l’éruption devait être en train de se solidifier.
La cendre partout
Les pluies de cendres sont la principale manifestation de l’éruption subies par la population. Elles pourraient être à l’origine du décès d’un jeune enfant. La poussière noire recouvre toutes les rues de la capitale Moroni. Toutes les maisons sont envahies par cette cendre volcanique qui entre partout au moindre souffle de vent ou lors du passage d’un véhicule. De nombreuses personnes s’affairent à nettoyer les lieux publics et les maisons, mais cela ne suffit pas et beaucoup attendent que la pluie tombe pour faire partir la cendre.
C’est dans les villages au-dessus de Moroni que la situation est beaucoup plus difficile. Les habitants n’ont pas de système d’adduction d’eau et puisent cette ressource dans des citernes à ciel ouvert. Du fait du réveil du Karthala, ces réservoirs sont maintenant pollués par les cendres. L’eau contenue n’est plus consommable sous peine de risquer de graves maladies. 118.000 personnes sont dans cette situation.
Avancée grâce à la coopération
Pour y remédier, on se mobilise afin d’une part de recouvrir ces citernes, d’autre part dans l’optique de ravitailler en eau ceux qui en sont privés. Dans ce but, le gouvernement et l’ONU travaillent à chercher des solutions.
Il est à noter que le service de sécurité civile, créée voici deux semaines en coopération avec une mission de pompiers réunionnais, a permis de limiter l’impact de la catastrophe, estiment les observateurs. Cet exemple montre que dans le domaine de la protection civile, la coopération entre Réunionnais et Comoriens peut déboucher sur des avancées concrètes, qui peuvent rendre service à des milliers de personnes lorsque survient une catastrophe de cette ampleur.
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