
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
31 mars 2008
Yvés Jégo, ministre de l’Outre-Mer, peut bien dire que La France n’a pas orchestré la protection de Bacar, l’arrêtant dès son arrivée à Mayotte, et le livrant à la justice française. Pourtant, le procureur de la République, François Muguet, avait précisé dans sa conférence de presse, vendredi dernier, que les gendarmes de Mayotte n’avaient pas dressé de procès-verbaux.
On se demande toujours pourquoi un avion militaire français prenait en charge un dictateur et sa garde rapprochée. La question reste en suspens.
Le Préfet de La Réunion a ordonné deux arrêtés à l’encontre de Mohamed Bacar et ses hommes, le temps que l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) examine leur demande d’asile, soit d’ici au moins une dizaine de jours. Les rebelles anjouanais sont placés sous la garde des gendarmes à la base militaire 181, où ils disposent de chambres de qualité, et sont nourris convenablement. C’est le seul site sécurisé, selon la préfecture, pour que Bacar et sa garde rapprochée ne fassent pas l’objet de représailles.
Yves Jégo informait que le parquet de Saint-Denis fera appel de la décision du tribunal, tandis que d’autres procédures judiciaires sont à envisager. Assignés à résidence, Bacar et sa garde devront une nouvelle fois répondre devant la justice. Seront-ils extradés vers les Comores, où la peine de mort n’a pas été abolie ? Une possible extradition en Afrique du Sud, pays de l’Union Africaine non représenté dans l’opération militaire à Anjouan, est évoquée.
En tout cas, Mohamed Bacar a bel et bien peur de répondre de ses actes devant la justice comorienne.
Willy Técher
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)