
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Tribunal administratif
3 avril 2008
Bacar renouvelle sa demande de séjour temporaire sur le sol français. Hier
le Tribunal administratif de Saint-Denis se prononçait sur un non-lieu de
reconduite à la frontière, et sa demande de séjour provisoire n’a pas été acceptée. Avant-hier soir, la Préfecture abrogeait son arrêté de reconduite à la frontière pour le remplacer par un autre. Toujours des problèmes de procédures ? Mohamed Bacar et ses complices sont retournés dans la base aérienne de l’armée française.
Faisant appel de l’arrêté préfectoral de reconduite à la frontière et demandant une autorisation de séjour, Bacar et ses hommes profitent une nouvelle fois d’un délai, accentuant le mécontentement de la diaspora comorienne à La Réunion.
La Préfecture a en effet abrogé son premier arrêté de reconduite à la frontière, pour en faire un autre, où l’on ne parle plus de reconduite aux Comores mais vers tout autre pays susceptible de l’accueillir. Est-ce à dire que La France évacuera Bacar et ses hommes en Afrique du Sud ? Mohamed Bacar n’a pas envie de retrouver Anjouan, où sa famille serait victime de représailles, signale-t-il, faisant allusion à l’agression d’un de ses beaux-frères.
L’ancien homme fort de l’île d’Anjouan craint pour sa vie, qu’il dit menacée, et exprime sa plus vive confiance en la justice française. Par ailleurs, il confiait à une consoeur qu’il ne se considérait aucunement comme un dictateur. Allons bon !
Le Tribunal administratif choisit la prudence, accordant un non lieu de
reconduite à la frontière, d’autant que la Préfecture abrogeait son premier arrêté de reconduite à la frontière. Cet arrêté n’existant plus, il n’y a donc pas lieu de reconduire à la frontière. Mohamed Bacar peut une nouvelle fois souffler. Son retour à Anjouan n’est pas encore d’actualité.
Quant à la demande de séjour temporaire, le tribunal dit ne pas juger pour cette demande, n’en ayant pas la compétence peut-être. Bacar et ses hommes ont réitéré leur demande de séjour temporaire, demande qui sera examinée vendredi normalement. Pendant ce temps, l’ancien président d’Anjouan et sa garde rapprochée sont toujours assignés à résidence à la base militaire 181, sous la surveillance des gendarmes.
W. T.
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