
Hommage à la femme de Bruny PAYET
1er juillet, parLa section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
22 janvier 2008
« Un désastre pour les Comores, qui n’avaient vraiment pas besoin de ça, et un bien mauvais coup porté à la décolonisation, la cause de tout un continent » : ce jugement lucide d’un diplomate en poste à Moroni, en cette fin d’été 1997, résume bien le sentiment général qui prévalait alors dans les chancelleries africaines et au sein des instances continentales. On aurait pu croire à une farce, imaginée par le plus grinçant des afro-pessimistes. Curieux spectacle en effet que celui offert par la population de l’île d’Anjouan, partie intégrante de la République fédérale islamique des Comores (RFIC), qui, dans un bel élan unanimiste, s’est soulevée contre les autorités centrales de Moroni pour réclamer son rattachement à la France, l’ancienne puissance coloniale ! Partagés entre incrédulité et condescendance amusée, les journalistes dépêchés sur place, français pour la plupart, n’ont pu s’empêcher de gloser sur les ratés d’une indépendance octroyée en 1975.
Et pourtant... En l’espace de trois ans, la question anjouanaise a viré du grotesque au tragique. Derrière les revendications simplistes et les explications partiales véhiculées par les agitateurs de l’Organisation pour l’indépendance d’Anjouan (Opia), se cache une réalité particulièrement complexe et malaisée à saisir.
(Samir Gharbi, Jeune Afrique)
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Messages
23 janvier 2008, 05:36, par KHAYYAM
NON AU SILENCE COMPLICE, NON AUX VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME A ANJOUAN
Les jeunes de Chitsangani , un des quartiers de Mutsamudu ,demandent aux commerçants de la capitale d’Anjouan de baisser leurs rideaux jeudi 24 janvier 08 pour dénoncer la torture dont sont victimes les soi-disant opposants à Mohamed Bacar et demandons aussi à la communauté des bloggers épris de justice de donner une large diffusion à ce message. Ensemble nous arriverons