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Table ronde sur le Tourisme
22 octobre 2009
Les professionnels du Tourisme, en partenariat avec l’Organisation patronale des Comores (OPACO) et le ministère du Tourisme, sont en conclave depuis hier. L’objet est de mettre en valeur le potentiel national.
Les Comores se rendent compte qu’elles sont en train de passer à côté de la plus grande machine à sous des temps modernes. Le milieu naturel encore vierge et les belles plages devaient attirer de nombreux touristes en quête de tranquillité, d’exotisme et d’écologie. Et pourtant, contrairement à ces voisines et plusieurs pays du Sud, le secteur a subi un recul plutôt spectaculaire.
Ce n’est pas le cadre physique qui fait d’un pays une destination touristique, mais bien la volonté politique et l’organisation de la profession, explique Toiwilou Mze Hamadi, chef du Département Tourisme à l’Institut Universitaire de Technologie. Il se dit persuadé que la formation des ressources humaines dans toutes les strates de la filière est plus importante que les infrastructures. Cela est évident puisque la capacité d’accueil a fortement baissé, et pourtant, cela n’améliore pas le taux de remplissage. En effet, le nombre de lits et le nombre d’emplois dans le secteur sont passés respectivement de 800 à 472 et de 960 à 490 entre 2000 et 2008. Cela est dû en partie au départ des grandes compagnies aériennes Air France et Emirate et des grands groupes hôteliers Novotel et Sun International. Cependant, c’est l’abandon puis la démolition du Galawa Beach, un complexe 3 étoiles de 180 chambres au Nord de la capitale, qui a précipité le déclin de l’industrie touristique naissante.
Un tourisme de proximité
L’initiative de l’association comorienne du Tourisme, présidée par Firozali Dramsi, soutenue par l’OPACO et le ministère du Tourisme, a pour objet d’analyser les causes du déclin et proposer des mesures en vue de promouvoir la destination Comores.
Sans chercher à rivaliser avec ses voisines déjà trop loin, la nouvelle stratégie développée est justement de s’arrimer sur leur réussite. Les professionnels comoriens visent le tourisme de proximité notamment La Réunion, Maurice, Mayotte et l’Afrique du Sud. L’idée est que les pays voisins qui ont vu leur niveau de vie s’élever grâce au tourisme international pour certains vont devoir prendre des vacances, mais pas trop loin. Il faudra alors développer des services et des infrastructures adaptés à ce type de clients.
Par ailleurs, l’un des freins au développement du tourisme aux Comores étant la cherté des billets d’avion entre les Comores et le reste du monde, il s’agit de capter une partie des touristes qui arrivent jusqu’à Mayotte.
De notre Correspondant A. Mohamed
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