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Océan Indien : Partage des Compétences
7 février 2007
Un climat tendu avait couvert les Comores les derniers jours de l’année 2006 en raison de l’échec des discussions sur la répartition des compétences. Début janvier, les diplomates présents à Moroni ont effectué une mission pour aider à renouer le dialogue entre le pouvoir central et les îles autonomes. C’est l’incontournable Francesco Madeira qui vient de présider la cérémonie de reprise des négociations.
Après le refus du dialogue entre l’État et les entités insulaires dans la précédente mandature, le Président Sambi s’est engagé à trouver une issue rapide et apaisée au partage des compétences entre l’État et les entités insulaires.
Les négociations ont évolué de l’avis des négociateurs des îles dans la sérénité pendant plusieurs semaines. Le principal point d’achoppement est apparu à propos de la force de sécurité intérieure.
En effet, Anjouan voulant garder ses forces et son arsenal, les autres îles insistent pour armer leurs hommes. Pour le gouvernement central, l’objectif est la démilitarisation d’Anjouan et non la multiplication des forces armées sous différents commandements car c’est une source de guerre. Le blocage de la commission ad hoc qui travaillait sur ce dossier a crée une crise grave, la première de l’ère Sambi.
Au discours acéré des uns et des autres, ont suivi des actes tout aussi scabreux. Ainsi l’on a assisté à la tentative de l’autorité de Ngazidja de prendre le contrôle des entreprises publiques par la force, la volonté du Chef de l’État de soulever la population d’Anjouan contre l’exécutif de l’île et l’apothéose fut la confiscation d’une cargaison d’armes de l’Armée Nationale par la garde rapprochée de l’homme fort d’Anjouan.
A la demande du président de l’Union, les représentants de la communauté internationale en poste aux Comores ont entrepris une mission de médiation pour renouer le fil du dialogue politique. Un mois après, c’est le diplomate mozambicain, Francisco Madeira, envoyé spécial de l’Union Africaine, toujours le même qui est venu encore une fois pour relancer la machine institutionnelle qu’il a aidé à mettre en place. Fidèle à sa mission qui est devenu au fil du temps un sacerdoce, il s’est attaché à remettre tous les protagonistes sur la table des négociations.
Priorité au bien-être de la population
En présence des représentants de l’Union européenne, de la Ligue Arabe, de l’Organisation Internationale de la Francophonie, du Système des Nations Unies et des ambassadeurs de Libye, de France, de Chine et d’Afrique du Sud, réunies au palais présidentiel de Beit-Salam, l’envoyé spécial de l’Union Africaine a appelé les gouvernants comoriens à ne pas s’éterniser dans le débat politicien, pour s’occuper enfin du développement économique et du bien-être de la population.
Il a ensuite réitéré l’engagement constant de son organisation à appuyer le bon fonctionnement des nouvelles institutions notamment dans l’application effectives des lois votées et promulguées. Il a annoncé l’arrivée d’experts internationaux pour éclairer la commission ad hoc sur les deux points de désaccords à savoir le type d’armement des forces de sécurité intérieure et la gestion des entreprises à capitaux publics.
En ce qui concerne les élections des présidents des îles, le médiateur de l’Union Africaine a réaffirmé le soutien matériel et technique de la communauté internationale afin qu’elles se tiennent dans les meilleures conditions et aux dates prévues.
A. Mohamed
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