
Les sites classés à l’Unesco menacés par un risque grave lié à l’eau
2 juillet73% des 1172 sites non marins classés au patrimoine mondial de l’Unesco sont confrontés à un manque ou un à excès d’eau, a alerté une étude (…)
Eruption du Karthala aux Comores
26 novembre 2005
Le volcan s’est réveillé depuis la nuit de jeudi à vendredi à la Grande-Comore. Phénomène rarement observé, des cendres d’une épaisseur d’un centimètre recouvre une grande partie de l’île. Dans les villes et villages situés à un rayon de moins de 3 kilomètres du cratère, la visibilité est nulle, a-t-on constaté tôt hier matin, notamment à Mvouni où la population a commencé à se déplacer vers des zones plus éloignées.
Dans un premier communiqué publié dans la nuit de jeudi à vendredi, la Commission de prévention et de gestion des catastrophes naturelles a déclenché l’alerte orange. Le commandant de gendarmerie Rafick Abdallah a effectué une tournée d’observation dans plusieurs régions et a déclaré que le phénomène reste sensiblement le même que celui qui a déjà eu lieu il y a quelques mois.
À l’observatoire du Karthala, on fait savoir que des signes de reprise d’activité étaient enregistrés depuis quelques jours, mais d’une amplitude jugée faible et sans réelle gravité. À 6 heures du matin, Moroni s’est
réveillée sous une fine couverture de cendres d’environ un centimètre, et la
visibilité reste assez faible.
Sur le plan social, l’éruption a des conséquences importantes. La population des villages environnants le volcan s’est dirigées vers Moroni car la poussière noire a tout envahi. Dans les secteurs qui n’ont pas d’adduction d’eau, les réservoir d’eau pluviale sont maintenant pollué, et cela concerne toute la partie Sud de la Grande-Comore. Des réfugiés se sont présentés dans la capitale Moroni, à la gendarmerie et à l’hôpital. Mais ils n’ont pu que constater qu’il n’y a aucune disposition pour les prendre en charge.
Des groupes se réfugient dans le Nord de l’île qui ne subit pas les conséquences de l’éruption. Mais dans les jours qui viennent, l’eau sera le problème numéro un pour des milliers de Comoriens. Et devant l’ampleur de la pollution par les cendres, les pouvoirs publics n’ont pas de moyens suffisants pour faire face dans l’urgence, estiment les observateurs.
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