
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
France
Forte mobilisation pour le 1er mai
2 mai 2003
Comme prévu, les traditionnels défilés du 1er mai ont été largement consacrées à la défense des retraites. Après les manifestations de la matinée dans plusieurs régions qui ont rassemblé environ 100.000 personnes, le cortège parisien s’est ébranlé vers 15 heures locales, il comptait 40.000 personnes selon l’AFP.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé jeudi en milieu d’après-midi à Paris à l’occasion de la manifestation syndicale unitaire du 1er mai à l’appel de la CGT, de la CFDT, de la FSU et du Groupe des dix.
Partis de la place de la République, les manifestations devaient se rendre place de la Nation. « Solidaires pour les retraites, l’emploi et la paix », peut-on lire sur la banderole en tête du cortège et derrière laquelle se trouvaient le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, celui de la CFDT François Chérèque et celui de la Fédération syndicale unitaire (FSU) Gérard Aschiéri.
Comme dans le reste de la France, le thème de la défense des retraites est omniprésent dans le défilé. Le secrétaire général de la CGT a d’ailleurs estimé que « la mobilisation de ce jour doit amener le gouvernement à des discussions qui soient constructives sur l’avenir des retraites, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Sinon, le 1er mai ne sera qu’un avant-goût de ce qui va se passer par la suite ».
Avant de rejoindre elle aussi la place de la Nation, FO a tenu un meeting séparé place de la Bastille. Marc Blondel, son secrétaire général, y a affirmé que ce 1er mai était « un signal » adressé au gouvernement sur les retraites, appelant par ailleurs à « la solidarité internationale des travailleurs contre toutes les guerres ». À noter que comme chaque année, la CFTC avait organisé dans la matinée son propre cortège de la gare Montparnasse aux Invalides.
Dès hier matin, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient défilé un peu partout en France à l’occasion des traditionnelles manifestations syndicales du 1er mai, largement dominées cette année par le thème de la défense des retraites. La plus grosse manifestation de la matinée a eu lieu à Marseille, avec au moins 20.000 personnes dans les rues selon la police, le double selon les organisateurs, à l’appel de la CGT, de la CFDT, de l’UNSA et de la FSU.
Partis de la Canebière peu avant midi, les manifestants ont défilé en direction de la porte d’Aix. « Tous ensemble pour les salaires, la protection sociale, les retraites, et l’emploi », pouvait-on notamment lire sur une banderole. « On présente comme de l’équité ce qui est la généralisation de l’ignominie créée par Edouard Balladur en 1993. On prend les citoyens de ce pays pour des imbéciles », a estimé Jean-Paul Beauquier, secrétaire de la FSU pour les Bouches-du-Rhône, au sujet de l’alignement de la durée de cotisation des salariés du public sur celle du privé.
Entre 15.000 et 20.000 manifestants, selon les organisateurs, sont également descendues dans les rues de Bordeaux en fin de matinée. Le cortège comptait de nombreux enseignants. À Toulouse, la manifestation intersyndicale régionale a rassemblé 6.000 personnes selon la police, 15.000 selon les organisateurs.
Selon les chiffres de la police, 3.200 personnes ont aussi défilé à Lyon, 2.500 à Nantes, 2.400 à Rennes, 2.000 à Lille, 4.000 à Perpignan, 5.000 à Strasbourg, 6.000 à Toulouse
De nombreuses actions sont prévues sur ce thème des retraites au cours du mois de mai. CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, UNSA, FSU et G10 appellent en effet à une « journée de grèves et de manifestations », le mardi 13 mai, moins d’une semaine après que François Fillon aura exposé les grandes lignes de sa réforme en conseil des ministres. La CGT souhaite aussi organiser une « grande manifestation nationale » le dimanche 25 mai.
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