
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Environnement
23 ans après la catastrophe de Tchernobyl
26 avril 2003
Des experts nucléaires français ont reconnu jeudi que la contamination de la France après la catastrophe de Tchernobyl a été sous-estimée. Pour autant, le lien avec l’excès de cancers de la thyroïde est difficile à mettre en évidence.
Dix-sept ans après la catastrophe de Tchernobyl, les autorités nucléaires françaises, en l’occurrence l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), reconnaissent que la France a été contaminée autant que ses voisins européens par le nuage radioactif en mai 1986. Toutefois, le lien entre cette contamination et une augmentation des cancers de la thyroïde n’est toujours pas établi formellement, selon l’Institut.
Après plusieurs années d’études pour établir la relation entre dépôts de césium 137 (produit de fission radioactif) et hauteurs des pluies, l’IRSN a reconstitué en 2003 une carte complète de la contamination des sols. On observe ainsi une diminution d’Est en Ouest des activités de césium 137 déposées, précise l’IRSN. Cette carte, afin d’apprécier la cohérence entre les niveaux de contamination du territoire français et ceux des pays voisins, a été juxtaposée à celle de ces pays dans l’atlas européen de la contamination par le césium, réalisé par la Commission européenne en 1998.
On constate dans l’Est de la France « des dépôts équivalents à ceux apparaissant dans certaines zone du Nord de l’Italie, de Suisse et du Sud de l’Allemagne » et une « continuité de la contamination avec l’Est de la Grande Bretagne et la Belgique ».
Une étude plus générale a aussi été menée sur le césium 137 présent dans les sols français. Celui-ci a aussi deux origines, selon l’IRSN : « les essais nucléaires atmosphériques réalisés par les États-Unis, la Russie, la Grande-Bretagne, la France et la Chine entre 1945 et 1980 et l’accident de Tchernobyl ». L’IRSN constate des niveaux de contaminations plus élevés que ce qu’on attendait « dans le Sud-Ouest et le Massif central ». Ce qui est à rapprocher des niveaux de pluies dans ces régions sur les 40 années que couvrent la période des essais nucléaires.
Tchernobyl : une menace persistante |
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La possibilité de l’effondrement du toit du sarcophage de Tchernobyl « est tout à fait réelle ». L’avertissement a été lancé mardi par le ministre russe de l’Energie atomique, Alexandre Roumiantsev, dans le quotidien russe "Nezavissimaïa Gazeta". « Aujourd’hui, il est difficile de dire ce qui se passe à l’intérieur du sarcophage », a-t-il par ailleurs souligné devant la presse, se demandant « qui avait examiné ses murs ». Le ministre a regretté que les autorités ukrainiennes aient renoncé il y a quelques années aux services des spécialistes russes de l’Institut Kourtchatov qui inspectaient régulièrement le sarcophage de la centrale atomique ukrainienne. « Nous souhaitons que soit construite une nouvelle protection pour la centrale afin qu’elle dure 100 ans », une protection en béton, par-dessus le sarcophage, a-t-il déclaré. Selon Alexandre Roumiantsev, une conjonction de trois facteurs explique la catastrophe de Tchernobyl, le 26 avril 1986 : une défaillance des réacteurs associée à une construction pas suffisamment fiable et à un personnel non qualifié. Si un seul de ces trois éléments n’avait pas été en place, il n’y aurait pas eu de catastrophe, a-t-il estimé. |
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