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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
France
18 décembre 2012, par
Six mois après l’élection de François Hollande à la tête du pays, trois députés UMP sont élus lors d’élections partielles, à une très large majorité. Malgré la crise au sein de leur formation politique, les candidats UMP ont profité de l’impopularité des socialistes et réussi à éviter que la guerre des chefs profite au Front national lors du premier tour d’élections partielles dimanche.
Dimanche 16 décembre, la droite a remporté le second tour des trois élections législatives partielles, premières du genre depuis le début du quinquennat. Dans l’Hérault, l’UMP et le copéiste Elie Aboud récoltent 61,91% des voix, reprenant ainsi l’ancien bastion des socialistes. Dans les Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian s’impose avec 60% des voix face au chevènementiste Julien Landfried, soutenu par le PS.
Et dans le Val-de-Marne, le candidat socialiste Akli Mellouli n’a pas passé le premier tour, laissant le second entre l’ancien ministre Henri Plagnol, membre de l’UDI soutenu par l’UMP, et Sylvain Berrios, candidat dissident UMP. Ce dernier a été élu avec 56,6%, offrant à la nouvelle UDI de Jean-Louis Borloo son premier revers électoral.
Vote sanction contre les socialistes
La presse parle de « carton plein » pour la droite, qui est un signal fort et une mauvaise nouvelle pour le Parti socialiste. Thèse soutenue par François Fillon qui a annoncé « un acte de défiance à l’égard d’une majorité sans cap et sans leadership ». Le PS perd ainsi deux sièges, l’un dans l’Hérault et l’autre dans le Val-de-Marne, ce test pour le parti d’Harlem Désir s’avère être « une sanction », d’après le “NouvelObs”.
Au lendemain des résultats, le premier secrétaire du PS a minimisé cette défaite sur France Info. Qualifiant ces territoires de « fiefs traditionnels de la droite », mais cette élection met en avant l’absence de rassemblement au sein de la majorité. « La mobilisation a été beaucoup plus forte à droite qu’à gauche parce que le peuple de gauche regarde, attend, observe ce que fait le gouvernement », a de son côté expliqué sur Europe 1 le socialiste Jean-Christophe Cambadélis.
Tous les observateurs s’accordent à dire que la politique générale de François Hollande est pointée du doigt par ses élus. En effet, certains socialistes demandent au chef de l’État de ne pas sacrifier « l’urgence sociale » sur l’autel de la rigueur. Ce ne sont pas les accords trouvés ce week-end qui rassureront les élus socialistes. En effet, François Hollande s’est aligné sur la position d’Angela Merkel sur l’union bancaire et le respect de la règle d’or (3% du PIB).
La cote de popularité du président baisse toujours pour arriver à 37%, selon le baromètre IFOP pour “Le Journal du dimanche”. Les médias rappellent qu’en janvier 1982, l’élection de quatre députés de droite lors de législatives partielles avait marqué la chute de François Mitterrand.
Céline Tabou
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