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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Mobilisation contre la réforme des régimes ’spéciaux’ de retraite
16 novembre 2007
Troisième journée d’action pour faire reculer le gouvernement sur l’allongement de la durée de cotisation pour la retraite dans les métiers pénibles. Les assemblées générales des travailleurs ont décidé hier de poursuivre la grève. Le mouvement continue dans l’unité d’action après que le gouvernement ait fait une première offre de négociation.
Les premières assemblées générales de cheminots jeudi ont reconduit la grève contre la réforme des régimes spéciaux pour au moins 24 heures, a indiqué le secrétaire général de FO-cheminots. Sept syndicats de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa, Sud-Rail, CFE-CGC) appellent toujours à la grève. Une réunion commune devrait se tenir dans l’après-midi à l’issue des AG pour convenir d’une position sur la lettre du ministre du Travail. Une "très grande majorité" des assemblées générales réunies sur les sites RATP jeudi ont également reconduit la grève pour 24 heures, selon la CGT.
Le mouvement se poursuit après avoir obtenu une première concession de la part du gouvernement, même si ce dernier fixe le calendrier.
Le ministre du Travail donne aux organisations syndicales un mois pour négocier dans les entreprises et les branches sur la réforme des régimes spéciaux de retraite. « L’objectif d’un mois de négociation dans l’entreprise ou la branche peut être retenu », écrit Xavier Bertrand dans une lettre adressée aux dirigeants de la CGT, la CFDT, la Fgaac, l’Unsa, Force ouvrière, la CFTC et la CFE-CGC. « A l’issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics, puis publiés ».
Nicolas Sarkozy a lui demandé que le conflit « s’arrête le plus vite possible ».
Proposition de la CGT acceptée
« La proposition d’organiser pour chaque régime spécial une réunion tripartite entre les directions des entreprises, les organisations syndicales en présence d’un représentant de l’Etat est acceptée », a confirmé le porte-parole de l’Elysée. Nicolas Sarkozy estime par conséquent que « les conditions sont donc réunies pour que l’ensemble des organisations syndicales puissent participer aux négociations d’entreprises et de branche », a-t-il rapporté. À l’origine, les négociations devaient avoir lieu au sein des entreprises, RATP, SNCF, EDF, GDF, mais sans la tutelle de l’Etat. Une perspective que la CGT, locomotive du mouvement, refusait.
Mercredi soir, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a déclaré mercredi sur France 3 avoir les éléments pour « suspendre la grève à la SNCF », après avoir reçu une "lettre de méthode" du ministre du Travail Xavier Bertrand sur les négociations de la réforme des régimes spéciaux. Force est de constater que le secrétaire général de la CFDT n’est pas suivi par sa base.
Car le renvoi des discussions aux entreprises ne règle pas tout. Force Ouvrière déclarait, elle, hier à “LCI.fr” qu’elle n’était pas contre des réunions par entreprise mais « sans préalable » de l’Etat, autrement dit que tout soit négociable. « Tout doit être sur la table », a déclaré mercredi soir le Secrétaire Général de FO Jean-Claude Mailly. Et Sud Rail demande toujours « le retrait de la réforme », ainsi qu’une « négociation globale pour l’amélioration de l’ensemble » des régimes de retraite. Le syndicat assurait de plus hier matin ne pas avoir reçu cette fameuse « lettre de méthode ». Bernard Thibault a lui laissé entendre qu’en en fonction de l’attitude du gouvernement, le mouvement pourrait être « raccourci ». La CGT estime en effet que la lettre du gouvernement est « le résultat de la puissance de l’action ». C’est donc une première avancée à faire fructifier. La vigilance est de mise et les assemblées générales des travailleurs ont décidé de poursuivre le mouvement.
La CGT réagit à la lettre du ministre du Travail
« Préserver les forces et l’unité d’action »
Dans un communiqué publié au soir de la première grande journée d’action, la CGT tire les enseignements des propositions du gouvernement, en voici les principaux points.
• Le résultat de la puissance de l’action
Après que les autres confédérations aient refusé une réunion tripartite sur le cadre global de la réforme, cette lettre est une réponse à une demande formulée par la CGT. Elle est le résultat de la puissance de l’action. Samedi, le même Ministre faisait de notre désaccord sur la durée de cotisation portée à 40 ans un préalable aux discussions. Bien que nous ayons maintenu nos désaccords, le préalable a disparu.
La CGT considère que l’ouverture de discussions tripartites est incontestablement un cadre nouveau qui permet aux salariés de porter leurs revendications sur l’ensemble des éléments constitutifs des droits à la retraite. Ainsi, la participation de représentants de l’Etat donne un sens et une légitimité nouvelle à des discussions, hier conduites exclusivement par les directions d’entreprises.
• Négociations dans la transparence
Le gouvernement précise : « les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant l’amélioration de la situation des agents y seront examinées ». Ces négociations permettront d’assurer la transparence des positions et des propositions des uns et des autres. Ce qui n’était pas le cas des discussions bilatérales menées parfois en coulisses par le gouvernement et les directions d’entreprises. Cela permettra donc une information et une intervention régulières des salariés à chacune des étapes des négociations.
• L’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir
La CGT est naturellement consciente qu’à cette étape de l’action, l’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir pour un déroulement et des résultats conformes aux aspirations des agents. La période qui s’ouvre nécessite une vigilance et une présence massive de tous les personnels qui se sont engagés dans les différentes phases de la lutte.
Elle leur demande d’apprécier les avancées constatées et de prendre en assemblées générales les décisions qui préservent leurs forces et l’unité syndicale.
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