
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
2 juillet 2008
Moral des ménages au plus bas, activité plus faible que prévue, chômage à la hausse... Pourtant, Christine Lagarde maintient sa prévision de croissance pour 2008.
L’annonce d’une baisse de régime de la croissance française, l’inflation qui grimpe en flèche et le choix "idéologique" du gouvernement d’appeler à la modération salariale ont eu raison du moral des ménages. Après douze mois de baisse consécutive, le moral des Français a atteint, selon l’INSEE, son plus bas niveau depuis 1987, date de la création de l’indicateur. La dégradation la plus forte concerne l’opinion des ménages sur les perspectives d’évolution du niveau de vie, qui perd 7 points.
En effet, l’inflation a atteint 3,3% sur un an en mai, un niveau inégalé depuis 1991, sous l’effet de l’explosion du cours du baril de brut, qui a dépassé, jeudi, le seuil des 140 dollars. Face à cette situation, les Français inquiets de l’évolution future de leur situation financière personnelle réduisent leurs intentions de réaliser des achats importants, l’indicateur le plus fiable pour anticiper la consommation à venir. En raison du recul de la consommation des ménages qui, jusqu’ici, avait tiré l’activité, l’INSEE a indiqué hier que la croissance au premier trimestre n’a été que de 0,5%, inférieure à ses prévisions (0,6%). Si ces révisions ne modifient pas les chiffres de la croissance pour 2007, toujours à 2,1%, elles influent en revanche sur l’acquis de croissance pour 2008, qui passe de 1,4% à 1,2%. L’acquis de croissance est le niveau de croissance du PIB dont on est sûr qu’il sera atteint, sauf en cas de récession au cours des trimestres suivants.
Pourtant, Christine Lagarde, en marge du lancement de la nouvelle pièce de 2 euros, à la Monnaie de Paris, a maintenu mordicus sa prévision de croissance pour 2008 dans une fourchette de 1,7% à 2,0% du PIB. « Aujourd’hui, on est au travail, on essaie de réduire le chômage, et on essaie de mettre en place des systèmes qui nous permettent, dans un univers international économique très contraignant, de faire valoir les atouts de la société française », s’est-elle empressée d’ajouter, alors que le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 0,3% en mai.
Comme en économie les malheurs n’arrivent jamais seuls, l’INSEE a également révélé hier une dette publique de la France (État, Sécurité sociale et collectivités locales) en hausse de 41,1 milliards d’euros au premier trimestre par rapport au trimestre précédent. Selon l’institut, la dette de l’État ressort à 965,8 milliards d’euros, en hausse de 35,8 milliards. Celle des administrations publiques locales est de 132 milliards, en baisse de 3,6 milliards. La dette des administrations de Sécurité sociale augmente nettement, de 10,9 milliards d’euros à 57,4 milliards. Au final, la dette s’établit à 1.250,6 milliards d’euros au 31 mars, soit 65,3% du PIB, bien supérieure à la limite autorisée par Bruxelles. Déjà sous le coup d’un avertissement sur son endettement par la Commission européenne, la France prendra dans trois jours la présidence de l’Union européenne dans les plus mauvaises conditions.
Clotilde Mathieu
La déprime s’accentue chez les Français en juin
Selon le baromètre BVA-BFM - La Tribune - The Phone House, 8 Français sur 10 se déclarent moins confiants dans l’avenir de la situation économique. Ils redoublent de pessimisme sur le pouvoir d’achat et l’immobilier. Pour Gaël Sliman, directeur de BVA opinion, le gouvernement a bien fait d’oublier la réforme des affections longue durée de l’Assurance maladie : elle était à la fois perçue comme injuste (77%), inégalitaire (75%), incohérente (62%) et même pas efficace économiquement (62%). Le gouvernement gagnerait en popularité à faire de même en ce qui concerne la suppression de la publicité sur les chaînes de service public. Le refus de l’opinion est net et catégorique sur presque toutes les dispositions prévues pour la financer, et tout particulièrement sur la hausse de la redevance comme sur la nouvelle taxe NTIC (nouvelle taxe sur les produits Internet et de téléphonie mobile).
« Dans un tel contexte global de pessimisme et de défiance, avec des attentes aussi aiguës sur le pouvoir d’achat, peut-être n’est-il pas des plus prudents de fournir de nouveaux signaux de frustration en donnant le sentiment au citoyen, au consommateur et au contribuable qu’ils devront payer davantage » conclut ainsi le directeur de BVA opinion, Gaël Sliman.
http://www.humanite.fr/2008-06-28_Politique_Les-menages-depriment-la-croissance-trinque
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