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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
16 octobre 2014
A l’occasion de la deuxième journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire, Zero Waste France appelle à une réglementation incitative et efficace à la hauteur de l’objectif du Pacte national anti gaspi de réduction de moitié du gaspillage alimentaire d’ici 2025.
En France, 7 millions de tonnes de nourriture sont jetées chaque année, et sur les 20kg jetés par chaque Français, 7kg sont des produits encore emballées et non consommés. En véhiculant un message ambigu sur la péremption réelle d’un aliment, les dates inscrites sur les produits, notamment la DLUO (date limite d’utilisation optimale), sont l’une des causes de ce gâchis. Supprimer la DLUO permettrait de s’attaquer à un tiers du gaspillage alimentaire des ménages, et de contribuer à l’atteinte des objectifs du Pacte national anti gaspi porté par le gouvernement.
Or, c’est bien ce même gouvernement qui a rejeté les amendements déposés dans le cadre de l’examen du projet de loi Transition énergétique qui proposaient de supprimer la DLUO, marquant ainsi un décalage criant entre les ambitions affichées et les moyens mis en œuvre.
Si le gouvernement ne s’y opposait pas, il serait même possible d’aller plus loin, en allongeant les dates limites de consommation (DLC), qui, étant fixées par les fabricants, prévoient fréquemment une marge importante, pour ne prendre aucun risque. « La définition de certaines DLC peut s’apparenter à du zèle, comme sur certains yaourts, dont la DLC est de 3 semaines et qui plusieurs mois plus tard sont toujours comestibles. Et c’est le cas pour de nombreux aliments. » remarque Manon Cuillé, chargée de mission pour Zero Waste France.
Maintenant que le texte du projet de loi a été adopté à l’Assemblée nationale, il reste à espérer qu’un sénateur ou une sénatrice s’empare du sujet pour déposer un amendement réintroduisant des actions ambitieuses sur les dates limites inscrites sur les aliments, et que le gouvernement finisse par mettre en cohérence ses actes et ses paroles en le soutenant.
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