
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Société
Accueil de la petite enfance
19 avril 2003
43% des personnels des structures d’accueil de la petite enfance ne sont pas qualifiés, selon un rapport remis mercredi au ministre délégué à la famille.
Les Français ont de plus en plus de bébés mais il y a de moins en moins de professionnels formés pour s’en occuper, selon un rapport remis mercredi au ministre délégué à la Famille, Christian Jacob. « Il n’y a pas de crise des vocations puisqu’on enregistre en moyenne dix candidats pour une place offerte en formation », souligne, Marie-Claude Petit qui a présidé le groupe de travail installé en novembre dernier par M. Jacob pour plancher sur le sujet.
Pourtant, 43% des personnels des structures d’accueil de la petite enfance (puéricultrices, auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants en établissements de moins de 40 places) ne sont pas qualifiés.
Le problème central réside donc dans la formation de ces personnels, qui est assurée par diverses écoles et centres de formation ayant des frais de scolarité et des aides aux étudiants très différents selon leurs gestionnaires (hôpitaux, associations ou Éducation nationale).
Les statuts de ces métiers sont très différents, « sans passage possible de l’un à l’autre et avec d’énormes disparités territoriales », explique Mme Petit qui préside la première fédération familiale française, "Familles rurales".
« Les élèves formés dans un département sont recrutés dans la région et n’en bougent plus alors que des candidats vivant loin de toute école (et d’origine souvent modeste) ne pourront pas se rendre dans des centres souvent chers, près desquels ils devront se loger », ajoute-t-elle.
Ces disparités se retrouvent dans les recrutements, les niveaux de rémunération et les carrières des professionnels selon qu’ils exercent dans le secteur public ou associatif mais aussi selon les structures (crèche collective ou parentale, halte-garderie, structure multi-accueil ou classe passerelle entre la crèche et l’école maternelle).
Le plus urgent est donc d’évaluer les besoins présents et à venir de cette filière qui ne peuvent que s’accroître avec les prochains départs à la retraite des "baby-boomers".
D’autant que la France, qui comptait 2,3 millions d’enfants de moins de trois ans début 2002, voit le nombre de ses naissances augmenter depuis 2000, tout comme le taux d’activité des mères de jeunes enfants. Cette évaluation des besoins, « sur cinq ans au moins » selon Mme Petit, pourrait être confiée à l’Observatoire de la petite enfance que pilote depuis un an la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).
Le rapport propose donc de favoriser la formation des candidats en augmentant les capacités des centres existants, mais aussi la formation en cours d’emploi des personnels non qualifiés, et de modifier le calendrier des scolarités pour que la délivrance des diplômes (janvier) corresponde avec la période des recrutements (été en France). Il suggère aussi d’établir des passerelles entre les différents métiers, grâce notamment à la validation des acquis et de l’expérience.
Pour rendre cette profession plus attractive, il propose de plafonner les frais de scolarité, d’augmenter le nombre des aides aux étudiants, de former des éducateurs expérimentés aux fonctions d’encadrement et enfin de lancer une campagne d’information sur ces métiers qui encourage la mixité. Ce rapport ne prend pas en compte le secteur des assistantes maternelles agréées, profession indépendante, qui fera l’objet d’une annonce du gouvernement à la Conférence de la famille 2003.
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