
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
10 juillet 2013, par
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a dévoilé son plan d’investissements d’avenir sur les dix prochaines années. Celui-ci sera doté d’environ 12 milliards d’euros, dont la moitié sera consacrée à la transition énergétique.
12 milliards d’euros vont être répartis dans plusieurs secteurs, 3,5 milliards aux universités et « 50% concerneront directement ou indirectement » la transition énergétique, a indiqué le Premier ministre lors de son discours à l’université parisienne de Jussieu.
Priorité : la transition énergétique
Cette somme prévoit 2,3 milliards pour la transition énergétique, dans le logement notamment, 1,7 milliard pour l’innovation industrielle, 1,3 milliard pour l’aéronautique, 600 millions pour l’économie numérique, 400 pour la santé ou encore 1,5 milliard pour les industries de la défense. Le chef du gouvernement a mis en avant l’amélioration des transports urbains et un appel d’offres sera lancé pour installer 3 millions de nouveaux compteurs électriques "intelligents" Linky en France d’ici à 2016. L’objectif est de remplacer tous les compteurs actuels, soit 35 millions d’unités d’ici 2020, coûtera 5 milliards d’euros. Ce plan prévoit aussi le plan de développement du numérique prévoyant l’accès d’ici 10 ans au haut débit sur 100% du territoire, ou encore le projet "Grand Paris", avec la construction de 200 kilomètres de métro supplémentaires à l’horizon 2030.
Basé sur un financement, progressif, celui-ci se fera à travers des prêts et des dotations, de préférence à des subventions, afin de minimiser l’impact sur les finances publiques et la dette. « Sérieux budgétaire et investissement, l’un et l’autre sont nécessaires au redressement du pays », a précisé Jean-Marc Ayrault. « Si l’investissement est une nécessité, il doit être aussi une discipline, il doit être ciblé, réfléchi, rigoureux. En un mot, efficace et utile » , a-t-il ajouté. Ce plan devrait être financé par les cessions de participations dans des entreprises dont il est actionnaire, après celles récemment réalisées chez EADS, Safran et Aéroports de Paris. « Les recettes issues de cessions de participations de l’Etat contribueront au financement [du plan], grâce une gestion active et responsable du patrimoine de l’Etat », a expliqué Jean-Marc Ayrault.
Des avis divergents
Pour l’ancienne ministre de l’Écologie, Delphine Batho, ce plan « ne permet malheureusement pas de doter la transition énergétique des moyens nécessaires à sa concrétisation », car seulement 2,3 milliards d’euros iront à la transition énergétique. « C’est moins que par le passé où l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, Ndlr) disposait de 2,8 milliards pour les appels à manifestation d’intérêt » , a-t-elle expliqué.
De son côté, le porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Thierry Mandon, a salué un plan d’investissements qui marque « un bon en avant des financements pour la transition écologique et la politique énergétique » , se félicitant de « la règle de l’éco-conditionnalité » qui doit « désormais systématiquement appliquée pour ce qui est des appels à projets » . Les députés d’EELV « prennent acte avec intérêt (…) d’un certain nombre d’annonces concrètes qui vont dans le bon sens ». Dans un communiqué, ces derniers affirment qu’ils seront « particulièrement vigilants sur leur application et leur mise en œuvre ». « Si le gouvernement a entamé le verdissement des investissements d’avenir, il doit être au rendez-vous, demain, pour d’autres échéances importantes : budget et fiscalité écologique, conférence environnementale et loi sur la transition énergétique », ont indiqué, les députés, François de Rugy et Barbara Pompili.
Céline Tabou
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