
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Décentralisation
Décentralisation du RMI
28 octobre 2003
L’inquiétude grandit chez les présidents de Conseil général, tout du moins ceux qui sont conscients des conséquences de ce transfert. Et craignent que faute de financement conséquent de l’État, la solution soit une hausse de la fiscalité locale...
Le président socialiste du Conseil général de l’Aisne, Yves Daudigny, a demandé au Premier ministre « des assurances et des éclaircissements sur les conditions de transfert aux départements, à compter du 1er janvier prochain, du RMI et du futur RMA ». Il a expliqué que le gouvernement n’avait fait connaître ni le montant de l’enveloppe qui sera allouée aux collectivités départementales ni les moyens humains qui seront mis à leur disposition pour assurer l’application du RMA. Un coût de mise en œuvre qu’il a estimé « au minimum à 550.000 euros ».
Tout comme bien des conseillers généraux s’interrogent sur les incidences qu’auront la réforme de l’indemnisation du chômage et la réduction de l’ASS sur le dispositif du RMI. Il apparaît évident à chacun que cette réduction allait entraîner une augmentation significative du nombre d’allocataires du RMI. Les chiffres donnés par l’élu laissent entrevoir que les crédits consacrés au RMI passeraient de 10 à 20%. Comment faire face à ce doublement ? Deux possibilités : soit un transfert par l’État des moyens financiers, soit une augmentation conséquente de la fiscalité départementale. Certains Départements ont déjà réclamer l’attribution d’une part de la taxe sur les conventions d’assurance. Certains vont même jusqu’à demander le transfert d’un point de CSG.
On ne peut que se demander si l’État n’est pas ainsi en train de se « débarrasser » de milliers chômeurs en fin de droits au détriment des Départements.
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Mézami, mo bann dalon, mi panss zot i koné zistoir-la é pétète zot néna in linterprétassion.Mwin pou mon prop konte, mi oi sa konm in kékshoz (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)