
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
10 septembre 2024, par
Les déchets plastiques représentent l’une des plus grandes menaces pour les écosystèmes marins à l’échelle mondiale. Les océans, considérés comme vastes, sont désormais envahis par une quantité croissante de plastiques, mettant en péril la vie marine. Madagascar, une île emblématique de la biodiversité, n’est pas épargnée.
Parmi les victimes de la pollution plastique des océans figurent les tortues marines de Madagascar, dont la survie est sérieusement compromise par l’intrusion de déchets plastiques dans leur habitat naturel. En mettant en lumière les défis spécifiques auxquels elles sont confrontées à Madagascar, zoom sur l’impact des plastiques sur ces créatures marines fascinantes.
Madagascar abrite plusieurs espèces de tortues marines, chacune jouant un rôle crucial dans l’équilibre des écosystèmes marins. Les tortues marines de Madagascar, comme dans d’autres régions du monde, sont confrontées à de multiples menaces, mais l’impact des déchets plastiques est particulièrement préoccupant. De plus, à Madagascar, les déchets plastiques proviennent principalement de trois sources : les déchets domestiques, les activités de pêche, et le tourisme. Les zones côtières, souvent mal desservies par des systèmes de gestion des déchets, notamment Mananjary, située sur la cote Est de l’ile mais aussi Toamasina, l’une des provinces de Madagascar, sont particulièrement vulnérables. Les plastiques jetés imprudemment se retrouvent rapidement dans les océans, où ils se dispersent et se fragmentent. Les plastiques, une fois dans l’océan, se fragmentent en petits morceaux mais ne se dégradent jamais complètement ce qui peut causer des effets dévastateurs sur la faune marine. En mème temps, les activités de pêche contribuent également au problème, avec des filets et des lignes de pêche abandonnés qui continuent à capturer des animaux marins. Le tourisme, en particulier dans les zones balnéaires populaires, génère des déchets plastiques qui, lorsqu’ils ne sont pas correctement éliminés, finissent par polluer les plages et les mers environnantes.
L’une des menaces les plus graves pour les tortues marines est l’ingestion de plastiques. Les tortues, notamment la tortue verte, confondent souvent les sacs plastiques avec des méduses, une partie importante de leur régime alimentaire. Lorsqu’elles ingèrent ces plastiques, elles peuvent souffrir de blocages intestinaux, de perforations internes, et de malnutrition sévère. Les plastiques peuvent également contenir des toxines qui s’accumulent dans les tissus des tortues, affectant leur santé globale et leur longévité. Des études menées sur les plages de Madagascar ont révélé que de nombreuses tortues retrouvées mortes avaient des fragments de plastique dans leur système digestif. Ces découvertes soulignent l’urgence de prendre des mesures pour réduire la pollution plastique et protéger ces animaux vulnérables. Les tortues marines sont également menacées par l’emmêlement dans les débris plastiques tels que les filets de pêche abandonnés, les sacs plastiques et les cordages. Ces débris peuvent provoquer des blessures graves, limiter la mobilité des tortues, et entraîner la mort par noyade. Les tortues peuvent se retrouver piégées, incapables de nager ou de se déplacer, ce qui compromet leur capacité à se nourrir et à se reproduire.
Les tortues marines de Madagascar, comme beaucoup d’autres espèces marines, sont gravement menacées par les déchets plastiques. Il est crucial d’agir maintenant pour protéger ces créatures fascinantes et préserver la santé des écosystèmes marins. Par une action concertée, allant de la réduction des déchets plastiques à des initiatives locales de nettoyage, nous pouvons contribuer à la sauvegarde des tortues marines et garantir un avenir plus sûr pour toutes les espèces maritimes.
Muriella Rakotondrabarisoa
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)