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Crise financière vue de Madagascar
11 octobre 2008
La crise financière risque d’entraîner un ralentissement de la consommation et du commerce mondial. Les exportations peuvent en subir les conséquences.
Point de clients, point de business. La crise financière qui frappe les États-Unis et l’Europe peut se traduire ainsi à Madagascar. Elle pourrait entraîner un ralentissement de la consommation et du commerce mondial en général. Des secteurs importants sur le marché américain, comme le textile, risquent donc d’être frappés d’une baisse de l’importation au niveau de ces pays.
« La crise favorise le chômage. Les pays du Nord vont concentrer leurs capitaux au redressement de leurs banques et de leur économie. Cela implique forcément un ralentissement de la consommation », prévient André Beaumont, président de la Chambre de commerce et de l’industrie France-Madagascar. « De mon point de vue, c’est le plus grand risque à courir », précise-t-il.
La baisse du flux des capitaux, tant privés que publics, vers les pays du Sud constitue également une des craintes émises à l’heure actuelle. Ce sera l’impact des plans de sauvetage comme les 700 milliards de dollars mis en œuvre par l’administration Bush aux États-Unis.
Bancarisation faible
Cela se traduira par une diminution des aides au développement pour les pays en développement. L’Afrique, qui se trouve pour la première fois dans une période de forte croissance soutenue, subira les conséquences de ce ralentissement du flux.
« Je ne crois pas que le secteur textile subira les conséquences de cette crise car la consommation des produits textiles est une nécessité, contrairement à celle des autres produits comme les voitures », explique de son côté, Shantayanan Devarajan, économiste en chef de la région Afrique à la Banque mondiale.
Par contre, les banques locales semblent à l’abri de cette crise. La bancarisation des capitaux reste très faible au pays et la relative facilité du mécanisme financier malgache rend les visibilités des institutions financières faciles. « C’est simple. Chez nous, les banques ne prêtent pas, tant qu’elles ne sont pas sûres de leur coup », souligne Claude Ratefiarisoa, directeur exécutif du Syndicat des industriels de Madagascar.
« Et puis, la BNI-Madagascar, par exemple, est financièrement très solide. Elle fait partie d’un groupe extrêmement stable », assure Marc Carlos, responsable des opérations internationales du groupe crédit agricole auquel appartient la BNI Madagascar.
En tout cas, les données d’aujourd’hui ne sont pas suffisamment complètes pour analyser correctement les véritables effets de la crise sur Madagascar. À l’heure actuelle, la plupart des opérateurs sont dans l’expectative.
Mahefa Rakotomalala, L’Express (Madagascar)
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