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8 août 2012
Selon notre confrère “Midi Madagascar”, le président de la Haute Autorité de Transition et l’ancien président de la République doivent se rencontrer de nouveau aujourd’hui aux Seychelles. La question des candidatures à la présidentielle annoncée pour le 8 mai prochain pourrait être abordée.
« L’ancien Président Marc Ravalomanana a déjà clarifié ses positions en annonçant qu’il sera candidat aux futures présidentielles. Depuis, ses partisans ne cessent de ressasser le message. Par contre, Andry Rajoelina, depuis qu’il a retiré sa déclaration selon laquelle il ne se portera pas candidat si l’intérêt supérieur de la Nation l’exige, n’a plus parlé en public de sa candidature ou non aux présidentielles », ce sont deux candidats potentiels à la prochaine élection présidentielle qui doivent se rencontrer aujourd’hui, selon notre confrère "Midi Madagascar", sous la signature d’Eugène Rajaofera. Car d’après ce dernier, le président de la Haute Autorité de Transition a une conduite de candidat. Or, « cette tendance vers la candidature des deux principaux protagonistes de la crise semble actuellement être confrontée à une autre tendance qui plaide pour la formule “Ni… Ni…”. C’est-à-dire que ni Marc Ravalomanana, ni Andry Rajoelina ne devraient se présenter, car ils seraient à l’origine de l’interminable crise politique actuelle », rappelle le quotidien.
« Ni… Ni… » ?
« Cette question de candidature a été déjà discutée durant la première partie du Sommet à deux qui s’est déroulée sur l’île de Desroches (Seychelles) du 24 au 25 juillet 20012. Mais aucun accord n’a été trouvé sur le sujet », précise notre confrère, selon lequel « des indiscrétions ont permis de savoir que le Président Andry Rajoelina aurait accepté de ne pas se présenter à condition que son rival Marc Ravalomanana ne rentre à Madagascar qu’après les élections. En termes bien clairs, Andry Rajoelina aurait défendu à Desroches la formule “Ni… Ni…”. La communauté internationale semble être divisée sur la question ».
« Les débats relatifs à cette question de candidature seraient clos à l’issue du deuxième round du Sommet à deux qui se tiendra aux Seychelles à partir du mercredi. La position officielle de la communauté internationale serait connue au cours de ce deuxième rendez-vous sur le sol seychellois », explique "Midi Madagascar", qui donne des précisions sur les conditions de la tenue de la rencontre : « Ce sera un tête-à-tête tenu loin des médias et dans des conditions bien sécurisées et bien verrouillées. Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina n’auront chacun droit qu’à trois personnes pour les accompagner. Lors du premier round des négociations, la délégation du président de la Transition a été composée de Norbert Lala Ratsirahonana, de Maharante Jean De Dieu et de Annick Rajaona. Tandis que Marc Ravalomanana a fait appel à Mamy Rakotoarivelo, à Olivier Andrianarisoa et à un conseiller spécial sud-africain ».
Cinquantenaire de la Journée panafricaine des femmes célébré à Madagascar
Les femmes malgaches se sont donné rendez-vous le 31 juillet dernier à l’Institut des Métiers de la Ville pour célébrer ensemble la Journée panafricaine des femmes. Cinquante ans de débats et de combats célébrés tous les 31 juillet sur le continent, et pour ce cinquantième anniversaire, un thème fort : « Femmes, osons prendre part pleinement à la gestion des affaires publiques pour un développement durable ». Le thème national de la célébration de la Journée mondiale de la Femme 2012 repris par l’Association des femmes parlementaires et administrateurs du Congrès de la Transition. « La reprise de ce thème signale l’importance et l’urgence pour les femmes malgaches de se voir impliquer dans les affaires publiques pour le bien-être de toute la population malgache », a déclaré Fatma Samoura, Représentante résidente du PNUD, qui a tenu à être présente à cette célébration. Cette journée était une occasion de contribuer à un meilleur engagement des femmes malgaches dans la gestion des affaires publiques, en rendant hommage à celles qui ont marqué l’histoire politique du pays. Ainsi, la journée était enrichie par les échanges autour de l’exposé de Marie Zénaïde Ramampy Lechat, Présidente du Réseau des Femmes africaines ministres et parlementaires à Madagascar, sur l’historique des femmes malgaches au pouvoir. Le Vice-président du Congrès de la Transition, Razafiandriambelo Njato Harinony Ihajamanana, a reconnu la place importante qu’occupent les femmes dans la société malgache. Selon lui, « le plein développement de Madagascar ne peut être acquis sans les femmes. Elles devront ainsi s’impliquer davantage dans la gestion des affaires publiques et politiques ». Rappelons que la représentation de la femme dans les sphères de prise de décision à Madagascar reste parmi les plus faibles en Afrique : la moyenne au niveau des parlements est de 6,2% depuis l’indépendance, avec un pic de 15,9% actuellement, contre plus de la moitié, pour citer un exemple, au Rwanda. Fatma Samoura a choisi d’interpeller les citoyens et les citoyennes malgaches en ces termes : « Madagascar a aujourd’hui besoin que chacun de ses citoyens prenne ses responsabilités pour contribuer au chantier de la paix et du développement. Les femmes doivent prendre conscience de leur place, de leur poids dans cet effort commun ». Cette journée a été organisée par l’Association des femmes parlementaires et administrateurs du Congrès de la Transition (VMMK), en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’Institut Electoral pour une Démocratie durable (EISA) et la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Le vernissage de l’exposition sur l’historique de femmes politiciennes et militantes malgaches a clôturé cette journée. Le choix de la date du 31 juillet comme Journée panafricaine des femmes coïncide avec l’anniversaire de la création de la première organisation de femmes en Afrique. En effet, le 31 juillet 1962, à Dar es Salam, des femmes des quatre horizons du Continent africain se sont réunies pour la première fois et ont créé la Conférence des femmes africaines (CFA). Cette organisation a vu le jour un an avant l’Organisation de l’Unité africaine (OUA). La CFA a été renforcée en 1974 par la mise en place de l’Organisation panafricaine des femmes (OPF) en instituant le 31 juillet comme la Journée panafricaine des femmes. |
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