
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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8 juin 2004
L’Association des entreprises de la Zone franche mauricienne (MEPZA) va lancer, sous peu, une campagne nationale pour revaloriser le secteur de l’exportation, particulièrement celle des produits textiles, a-t-on appris de source industrielle à Port-Louis, samedi. "Ce n’est pas une tâche facile de promouvoir et de réhabiliter l’image de la Zone franche auprès de la population mauricienne", a déclaré Edley Chimon, président de la MEPZA.
Le problème se situe, selon lui, principalement dans le secteur du textile où l’on s’attend à une compétition accrue avec l’abolition de l’Accord multi-fibre prévue pour le 1er janvier prochain et aussi en raison de l’incertitude quant au renouvellement de la Loi américaine sur la croissance et les opportunités commerciales (AGOA). Malgré ces obstacles, les entrepreneurs sont confiants. "En 35 années d’expérience, Maurice s’est construite une solide réputation de fournisseurs de produits de qualité, de sérieux, de respect des normes et de délais de livraison. La perspective de maintien des commandes sur Maurice existe", a souligné un entrepreneur, Yves Robert Lamus. Cependant, une restructuration de tous les organismes œuvrant pour la promotion de la Zone franche est sérieusement envisagée dans le but d’aider les entreprises à faire face aux défis internationaux, a indiqué Danielle Wong, directrice de la MEPZA. Dans un mémorandum adressé au ministère des Finances, dans le cadre de la présentation du budget national, la MEPZA a réclamé des mesures portant sur la modernisation et la restructuration des entreprises, la réduction des frais pour les services publics (eau, électricité et tout-à-l’égout), de même que la formation et la promotion de la recherche et du marketing.
"La plupart des entreprises ont un lourd taux d’endettement et les charges bancaires sur ces dettes pèsent sur leur trésorerie", a-t-elle fait ressortir. La MEPZA a également demandé au gouvernement d’introduire des incitations spéciales pour promouvoir l’investissement dans de nouveaux projets d’implantation de filatures, ainsi que des partenariats en vue de l’intégration verticale du secteur du textile et de l’habillement. Avec 77.000 emplois directs et une contribution de 9.8% au Produit intérieur brut (PIB), la Zone franche mauricienne reste l’une des principales sources de devises étrangères de l’île.
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