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Devant les menaces qui pèsent sur le textile et le sucre, les dirigeants mauriciens souhaitent développer considérablement la pêche industrielle. Dans cette optique, ils s’associent avec l’Inde. 3.000 emplois doivent être créer dans un ’Seafood Hub’ qui vise à doubler les exportations mauriciennes vers l’Europe, mais aussi à coopérer avec l’Inde pour exporter vers les pays du COMESA, de la SADC et vers les Etats-Unis.
Selon le journal mauricien "L’Express", la Seafood Exporters Association of India et la Chambre de commerce de Maurice ont signé jeudi 27 octobre, un protocole d’accord à Cochin. Il devrait favoriser les échanges dans le domaine de la pêche industrielle entre les deux pays de notre région. Cela ferait de Maurice une plaque tournante incontournable dans le secteur de la pêche, de la transformation et de l’exportation des produits de la mer.
Cet accord a été signé lors de la visite en Inde du Premier ministre, Navim Rangoolam. À la tête d’une délégation, ce dernier a visité Cochin, une des plus grands ports de pêche d’Inde. C’est à l’occasion de cette visite que l’accord entre la Chambre de commerce mauricienne et la Seafood Exporters Association of India (SEAI). Dans ces termes, "l’accord prévoit également le transfert de capitaux et d’expertise ainsi qu’une aide à la formation dans le domaine de l’aquaculture", précise notre confrère.
3.000 emplois
Ce partenariat vise à faire de Maurice une plaque-tournante dans ce secteur. Il manifeste une volonté politique qui vise à accorder "une place importante au transbordement et à la transformation industrielle des produits marins".
"Le gouvernement estime que cette industrie pourra contribuer de manière significative à la création de richesses à un moment où de sérieux problèmes planent sur les moteurs traditionnels de croissance, à savoir le textile-habillement et le sucre", précise "L’Express" qui ajoute que le "Seafood Hub" "a aussi les moyens de créer des emplois en masse dans la périphérie maritime de Port-Louis, qui connaît un problème aigu de chômage".
Si le projet se concrétise, il est prévu de créer 3.000 emplois directs et indirects dans la pêche, l’aquaculture, la transformation, le conditionnement et l’exportation de poissons frais et congelés.
Viser le marché européen
Sur ce dernier point, le gouvernement mauricien table sur un doublement des exportations vers l’Europe. "Pour y parvenir, les autorités veulent encourager des alliances stratégiques transfrontalières avec des usines de traitement et des grossistes pour fournir des produits de mer à haute valeur ajoutée", écrit "L’Express" pour qui "la coopération avec l’Inde peut aider à réaliser cet objectif, vu les capacités industrielles de ce pays dans ce secteur".
Une plaque tournante de l’océan Indien
Selon "l’Express", voici le principe du "Seafood Hub" :
"Les Indiens pourront utiliser Maurice comme plate-forme de transbordement et de traitement industriel pour exporter vers les marchés de la Southern African Development Community et du Common Market for Eastern and Southern Africa. Des exportations vers les États-Unis sous l’African Growth and Opportunity Act sont également envisagées.
Mais les opérateurs du Kerala sont également très intéressés par le trafic en sens inverse : des entreprises de la Grande péninsule dont la capacité de production serait sous-utilisée traiteraient et mettraient en boîte des matières premières (poissons et fruits de mer) importées de Maurice.
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