
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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9 février 2008
La Mauritius Commercial Bank estime que l’économie risque de faire les frais d’une conjoncture mondiale peu reluisante. La croissance sera toutefois au rendez-vous.
Un optimisme tempéré. La Mauritius Commercial Bank (MCB) prévoit une croissance de 5,9% en 2008. Elle en fait état dans le dernier MCB Focus publié hier. Excluant le sucre, la croissance se chiffrera à 5,8%. Les dangers d’un ralentissement économique pourraient compliquer une reprise jugée fragile. La libéralisation du commerce et l’appréciation de la roupie sont également des facteurs de déstabilisation potentiels.
La prévision de la MCB est très proche de celle du Bureau central des statistiques (BCS) qui, lui, mise sur un taux de progression de 6% du Produit intérieur brut (PIB) pour l’année. Les économistes de la MCB estiment toutefois qu’un taux de 5,9% est inférieur aux attentes de croissance sur le moyen terme. L’activité aurait dû être beaucoup plus robuste, compte tenu des risques qui se profilent à l’horizon international.
Pour l’instant, l’animation est au rendez-vous dans plusieurs secteurs d’activité. Le tourisme, la construction, les services financiers, les services professionnels et, dans une certaine mesure, le textile-habillement, maintiennent la cadence. Les exportations et l’investissement privé reprennent les devants de l’activité. La consommation perd quelque peu de son impact, tandis que les dépenses publiques perdent du poids dans l’équation de manière assez notable.
Le MCB Focus souligne néanmoins que sa projection pour l’année est « cautiously reassuring ». Les risques de récession aux Etats-Unis et de ralentissement économique en Europe pourraient brouiller les perspectives du tourisme et de la confection, nos deux principales industries d’exportation. Ces problèmes pourraient également avoir un impact négatif sur l’afflux de capitaux étrangers.
Les analystes de la MCB disent craindre que les difficultés économiques aux Etats-Unis puissent avoir des répercussions beaucoup plus grandes sur l’économie mondiale qu’on ne le pense. Le récent comportement des places boursières européennes et asiatiques est la preuve que les problèmes aux Etats-Unis sont extrêmement contagieux.
Attirer davantage de capitaux étrangers
La MCB demande la vigilance concernant la politique monétaire. Une roupie forte nuit à la compétitivité des exportations mauriciennes. Une appréciation plus rapide de la monnaie locale face à l’euro et au dollar est une possibilité bien réelle dans un contexte où le différentiel des taux d’intérêt est nettement en faveur de la roupie. Le rendement relativement élevé sur les bons de Trésor et les dépôts bancaires va attirer davantage de capitaux étrangers, mettant, du coup, une pression supplémentaire sur le taux de change.
La libéralisation du commerce mondial continue à représenter un autre défi majeur de l’économie. Les industries manufacturières axées sur le marché local seront touchées. Les activités d’exportation, qui ne sont pas suffisamment équipées face aux forces de la concurrence internationale, seront également affectées.
La flambée des cours de plusieurs matières premières sur le marché international va négativement impacter la balance extérieure et maintient la pression sur l’inflation importée.
Les pressions inflationnistes, en effet, vont persister en 2008, malgré une légère chute du taux de l’inflation. Selon le MCB Focus, l’inflation se chiffrera à 8,3% en juin et 7,8% en décembre. La cherté des produits alimentaires et du pétrole va continuer à déstabiliser les bourses des ménages.
La MCB prévoit une baisse du taux de chômage pour la troisième année consécutive. La croissance économique crée actuellement de nouveaux postes dans plusieurs secteurs. Toutefois, les analystes s’inquiètent du manque de personnel qualifié dans les nouvelles activités de services.
Akilesh Roopun, “L’Expres”
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