
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Manifestation contre la vie chère
12 octobre 2011
De brefs affrontements ont opposé les forces de l’ordre à un millier de personnes qui manifestait contre la vie chère en fin d’après-midi hier, mardi 11 octobre 2011 à Kawéni, un quartier de Mamoudzou la principale ville de Mayotte. Le calme est revenu à la tombée de la nuit. Les syndicalistes ont appelé à un durcissement du mouvement pour le cas où leur revendication de baisse des prix ne serait pas satisfaite à l’issue de la nouvelle réunion de concertation prévue pour ce jeudi.
En tout début de matinée, ce mardi, la tension qui a régné sur Mayotte lundi était visiblement retombée d’un cran. Comme c’est maintenant la tradition depuis trois semaines, les manifestants qui protestent contre la vie chère se sont rassemblés dès le début de la matinée sur la place du marché à Mamoudzou. En cortège, un millier de personnes, selon les syndicats, 500 selon la police, a ensuite fait le tour de la ville pour faire fermer les rares commerces encore ouverts. Les grévistes ont défilé en chantant et en récitant des prières pour obtenir la satisfaction de leurs revendications. Il n’y a alors pas eu de heurts avec les forces de l’ordre.
Pour sa part, le préfet Thomas Degos a poursuivi les consultations individuelles de chacune des parties prenantes du conflit. Cela alors que la délégation des associations de consommateurs, envoyée par la Préfecture à La Réunion pour vérifier l’écart des prix entre les deux îles, est arrivée à Saint-Denis.
Les consultations préfectorales vont se poursuivre jusqu’à mercredi. Les négociations reprendront ensuite jeudi après-midi. « Pour nous cela sera le moment de vérité », commente Nasser, un habitant de Kawéni, un quartier de Mamoudzou. « Après les affrontements d’hier (lundi – NDLR) les gens se sont calmés. Ils prient pour que nous obtenions gain de cause, que l’État et la grande distribution nous entendent et baissent les prix. S’ils ne le font pas les Mahorais vont vraiment se mettre en colère et alors tout, même le pire, sera malheureusement possible », ajoute Nasser.
En attendant, l’économie est toujours au point mort. Trouver de la nourriture ou des produits d’hygiène devient quasiment impossible. « Nous souffrons mais nous tiendrons jusqu’au bout », dit encore Nasser.
Rappelons par ailleurs que Nasri, le petit garçon de 9 ans blessé par un coup de flash-ball tiré par un gendarme, a été opéré à Saint-Pierre de La Réunion. Il a perdu un œil. Le gendarme auteur présumé du tir a été mis en examen pour coups et blessures sur mineur par personne dépositaire de l’autorité publique.
Mahdia Benhamla à Mayotte pour www.ipreunion.com
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)