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Contentieux de Mayotte
18 juillet 2008
Le Groupe de travail sur la question de Mayotte s’est réuni pour la 2e fois les 11 et 12 juillet 2008 à Moroni. La délégation française était composée de hauts fonctionnaires du Quai d’Orsay et d’élus du Conseil général de Mayotte. Les deux parties ont choisi de mettre de côté le statut de l’île principal nœud du problème et parler de libre circulation des biens et des personnes et de coopération régionale.
Elle est loin la levée de bouclier à laquelle on a assisté en début du mois de juin à Paris et Moroni. Des organisations de la société civile et des parlementaires avaient alors battu le pavé tandis que des militants de la diaspora manifestaient devant l’Ambassade des Comores pour protester contre l’ouverture des négociations Franco-comorienne sur la question de Mayotte.
Le déroulement de ce second round la semaine dernière à Moroni est passé presque inaperçu et pourtant l’événement a été relaté dans les médias publics et privés. Cela est dû en grande partie au renchérissement du coût de la vie, à l’accumulation des arriérés de salaires des fonctionnaires auxquels s’ajoute la pénurie de carburant qui affecte durement et l’économie du pays et le quotidien des ménages.
Mardi dernier à Moroni un meeting organisé par plusieurs partis politiques pour dénoncer la gestion de l’Etat du président Sambi a eu du mal à mobiliser. Ces leaders politiques ont vertement contesté la légalité des dernières nominations à la Cour Constitutionnelle, la sincérité de l’élection du président d’Anjouan et surtout le refus du locataire de Beit-salam de procéder au transfert des compétences aux îles. L’un des orateurs au cours de cette rencontre a demandé aux députés de rejeter le projet de loi soumis à leur examen, visant à faciliter l’obtention de la nationalité comorienne à des ressortissants des pays arabes du Golf. La question des négociations Franco-comorienne a été à peine soulevée.
« Le silence de la population ne signifie en rien une acceptation de la politique de Sambi ; c’est une sorte de lassitude face aux nombreuses difficultés de la vie quotidienne auxquelles elle est confrontée », déplore Attoumane Bacar militant d’un parti politique d’opposition.
Seul un groupe de militant qui avait déjà fait parler de lui à Paris en juin dernier a tenté de perturber ces discussions qui vont selon un des responsable « aboutir à la renonciation d’une partie du territoire nationale ». Ces jeunes ont été interpellés dès leur descente d’avion et leurs supports de communication (affiches, banderoles,....) confisqués.
De son côté, M. Soulaimana Mohamed Ahmed, ambassadeur des Comores à Paris et chef de la délégation comorienne estime que « les négociations en cours seront fructueuses ».
Pour sa part, Luc Hallade le successeur de Christian Job comme ambassadeur à Moroni, tout en reconnaissant la qualité des discussion précise que cette session a pour rôle d’élaborer des propositions qui devront être validées en septembre prochain. L’objectif assigné aux négociateurs est d’aboutir à un accord global d’ici février 2009 date à laquelle le président Nicolas Sarkozy projette de se rendre à Moroni.
De notre correspondant à Moroni
A. Mohamed
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Messages
18 juillet 2008, 20:12, par alaby
alaby
Je pense que la question de Mayotte, mérite une autre approche, plus globale, intelligent et efficace. je vois, je regarde dans la même direction que Monsieur SAMBI sur le fait de dire que les Maoraises et les Maorais prendront en l’avenir les décisions qui s’imposeront vis à vis de la situation sociale des Comoriennes et les Comoriens. D’autre part, si cela ne rime en rien de ce que nous souhaitons, je verrais reposer la question autrement à la France : comprenons que mayotte fait partie intégrante de l’Achipel des Comores, l’interêt que reçoit la France dans cette partie de notre Archipel mérite d’être connu et qu’il soit réciproque mais mieux aussi à le partager. Nous suggérerons, demanderons que ses fruits soient à partager. voyez vous il n’y a pas que des débiles aux Comores. il y a des hommes à respecter nos chers alliées : la France. Je m’adresse aux soient disant partis politiques aux Comores, un parti politique, mais digne devrait dire les choses naturellement. la crise mondiale à savoir la pénurie de l’or noir, de la flambée des prix de matières de premières nécessités casent le monde entier. il n’y a pas que l’Union des Comores donc, des comoriennes et les comoriens qui souffrent soyons sérieux. Pour un vrai changement aux comores, il nous faut deux à trois grands partis politiques qui seront en mesure de faire face à la réalité, la vérité et la logique des choses. Il faut que les responsables en place ne les extériorisent pas, mais les reconnaissent comme tels et même programmé des subventions pouvant aider ces partis à évoluer et mener une réelle alternative, une contre offensive dans le respect des institutions, du droit en général. Ne vous trompez pas chers compatriotes, nous vivons une autre époque, vos enfants retournenent de leurs lieux d’étude. Sans courage parallèlement aux partis politique : c’est à dire, sans propositions, des vrais propositions nul n’avence. Les comoriennes et les comoriens veulent savoir qui est responsable de quoi, qui a dit quoi et qui fait quoi ! ! ! c’est marrant ? non ? Vive les Comores.
Avant que j’y pense faisant référence à la constitution comorienne, il faut être réaliste, la changée est nécessaire, voir obligatoire et il faut aussi prôner l’efficadité et ne plus aligner les problèmes là où il n’y a pas. je martèle et dire étant donné que nous avons déjà localisé, maîtrisé l’art et la méthode de l’âxe du mal, nous serions en mesure demain de faire en sorte que les Mohéliens achèvent leur mandat en maîtrisant l’art de conduire les choses avec efficacité, efficacité et efficacité donc, à la fin de leur tour, (OUI il FAUT DU COURAGE ET DE L’ABNEGATION SUREMENT LE RESPECT DES UNS ET DES AUTRES : MOHELI EST LA PETITE ILE DES QUATRES ÎLES ET C’EST LES COMORES !!!!!!! EVITER LES DIFFICULTEES !!!) nous changerons la constitution comorienne ce qui est substantiel.