
Accord historique pour la Nouvelle Calédonie
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12 juin, par
Les effectifs scolaires à Mayotte ont augmenté de 22 % entre 2019 et 2024, à rebours de la tendance observée dans l’hexagone. Cette croissance rapide, combinée à un déficit estimé à 1 200 salles de classe, conduit à une organisation en rotation : 57 % des élèves sont accueillis dans des établissements ou une même salle sert successivement à deux groupes (matin et après-midi).
Certaines communes devront doubler leur capacité d’accueil en dix ans. Les obstacles sont multiples : foncier rare, déficit d’ingénierie, faibles capacités de gestion et risques naturels majeurs (96 % des écoles sont exposées à un risque naturel en plus du risque sismique et dans deux tiers des cas ce risque est de niveau moyen à fort).
Malgré une mobilisation financière sans précédent de l’État (207 M€ depuis 2016), les communes peinent à engager les travaux. La moitié d’entre elles n’a pas consommé les crédits alloués. Les communes mahoraises consacrent 38% de moyen de fonctionnement en moins (alimentation, entretien des bâtiments, fluides, télécommunication, fournitures scolaires et entretien) que leurs homologues hexagonales, alors même que les besoins y sont incomparablement plus importants. Le constat est le même en investissements alors que la population hexagonale scolarisée y décroît, à l’inverse de Mayotte.
Les communes doivent engager des investissements colossaux pour répondre aux besoins scolaires, alors même que leur capacité d’investissement actuelle est très limitée et que leur situation financière reste fragile.
L’accès à une école publique de qualité est un droit fondamental. Des maires restreignent l’inscription scolaire par des pratiques discriminatoires, en demandant des pièces justificatives qui ne sont pas prévues par la loi.
Restauration scolaire et périscolaire : une offre insuffisante
Seuls 8% des élèves bénéficient d’un repas chaud. La majorité reçoit une collation froide peu nutritive, sans distinction d’âge, alors que des réfectoires ont été construits massivement grâce au financement de l’État. Les communes sont réticentes à les mettre en service en raison des coûts de fonctionnement.
L’accueil périscolaire reste quasi inexistant à Mayotte, souvent réduit à une simple garderie sans activités éducatives, en dépit des besoins du territoire.
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