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Base navale à Mayotte
17 mars
Le gouvernement comorien a estimé que « militariser à outrance » Mayotte n’est pas une « réponse appropriée ».
Le ministre des Outremers, Manuel Valls, a annoncé un « soutien » à la construction d’une base navale de Mayotte, mais dans un communiqué, le ministre comorien de l’Intérieur, Fakridine Mahamoud, a assuré que cette base navale n’était « pas la réponse appropriée » et « risque d’exacerber les tensions déjà élevées ».
« Décider de militariser à outrance Mayotte n’est pas la réponse appropriée », a-t-il déclaré. Ce dernier a indiqué qu’il s’agit d’« une réponse qui va à contresens de l’histoire de notre continent, l’Afrique, et qui risque d’exacerber les tensions déjà élevées dans l’île ».
Le 12 mars, Manuel Valls a évoqué à l’Assemblée nationale un « soutien de la base navale » à Dzaoudzi ainsi qu’un « soutien des bâtiments de la Marine nationale » dans le cadre de la prochaine loi de programmation pour la refondation de Mayotte.
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Interrogé par la Commission de la Défense, la députée de Mayotte, Estelle Youssouffa, lui a demandé s’il serait prévu dans cette loi la « construction d’une base militaire navale dans le nord de Mayotte pour protéger (la) frontière » ainsi que la « construction du commandement de gendarmerie en Grande-Terre ».
« Que ce soit sur l’idée de soutien de la base navale afin de garantir la surveillance permanente de l’approche du territoire et assurer le soutien des bâtiments de la Marine nationale, comme sur le commandement de la gendarmerie, oui ces éléments seront dans la loi », a répondu Manuel Valls. « Le ministre n’a pas évoqué la création d’une nouvelle base navale à Mayotte », a indiqué son entourage à l’Agence France Presse.
Le détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) compte environ 300 hommes, selon des chiffres publiés par la préfecture de Mayotte. La Marine nationale dispose elle avant le passage en décembre du cyclone Chido de deux vedettes, un intercepteur et deux navires logistiques attachés à la base navale de Dzaoudzi, d’après le ministère de la Défense.
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Messages
21 mars, 12:21, par Maillot joseph Luçay
Le choix de l’indépendance n’empêchait pas la république des Comores d’accepter une présence militaire française sur son territoire . La république de Djibouti a accepté la présence militaire française depuis son indépendance en 1976 jusqu’à aujourd’hui . Ce qui a permis à la France de jouer un rôle diplomatique et stratégique sur toute la zone ouest de l’océan Indien, mais aussi à la république de Djibouti d ’obtenir en échange la garantie de bénéficier d’un revenu locatif non négligeable et en même temps de bénéficier de l’apport des devises dépensées sur son territoire par tous les militaires français présents sur son sol. .Et si la a république de Djibouti a donné également à d’autres pays la possibilité d’avoir une présence militaire sur son territoire ce n’est pas seulement pour se protéger et maintenir la paix dans une région du monde région très instable politiquement , mais aussi parce que cette présence militaire multi nationale était très rentable politiquement mais aussi financièrement .
Aujourd’hui l’ile de Mayotte est devenue une ile Française non seulement parce qu’elle fait partie des territoires Français depuis qu’elle a été achetée par la France en 1841 mais aussi parce que les Mahorais ont décidé de garder la nationalité française en 1976 , et en acceptant à une très grande majorité de devenir le 5ême département Français quelques années plus tard . Si bien que le président de la République des Comores ne peut plus contester une décision de la France d’accroitre sa présence militaire à Mayotte . D’autant plus qu’il s’agit d’une décision unilatérale qui pourrait être très avantageuse pour son pays non seulement sur le plan stratégique ,parce que toutes les iles des Comores bénéficieront de la protection militaire de la France même si elles ne le demandent pas, mais aussi sur le plan économique et social , s’il accueille favorablement militaires français qui voudront venir sur son territoire pour dépenser pour leur loisir une partie de leur argent . .