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Crise à Mayotte
22 avril
Ce financement comportera « des fonds nationaux », mais aussi « des fonds européens », et les bailleurs internationaux seront mobilisés.
Le président Emmanuel Macron a peut-être entendu ’appel du maire de Mamoudzou, Ambdilwahedou Soumaila qui déclaré sur FranceInfos, « j’espère que quand il reprendra l’avion, ses décisions seront suivies par des faits. Beaucoup d’annonces avaient été faites en décembre, mais à date, aucune collectivité n’a touché aucun euro. Elles doivent se débrouiller par elles-mêmes ».
Cette annonce a été faite lors du Conseil des ministres en visioconférence depuis Mayotte, le 21 avril, afin de présenter un projet de loi programme très attendu sur la « refondation » de l’archipel, quatre mois après le passage dévastateur du cyclone Chido.
Le plan de « refondation » de Mayotte devrait comporter une enveloppe de plus de 3 milliards d’euros sur six ans, a annoncé le 21 avril Emmanuel Macron, en visite dans l’archipel. Il a présenté le projet de loi de programmation, quatre mois après le passage dévastateur du cyclone Chido.
Ce financement de 3,2 milliards d’euros prévu entre 2025 et 2031 selon l’Élysée « aura vocation, avec des clauses de revoyure, à être régulièrement passé en revue », a ajouté le chef de l’État. Il comportera « des fonds nationaux », mais aussi « des fonds européens », et « les bailleurs internationaux que nous souhaitons mobiliser ».
Ce texte comprend aussi un volet important de lutte contre l’immigration clandestine depuis les Comores. Il a été présenté en vue d’une adoption par le Parlement d’ici l’été, a-t-on précisé.
Cette loi d’urgence vise à faciliter la reconstruction de Mayotte via des assouplissements des règles d’urbanisme et de commande publique, a déjà été adoptée en février.
La loi de refondation, beaucoup plus large, comprend des « mesures plus structurelles permettant le développement économique et social du territoire sur de nouvelles bases », selon le ministre des Outre-mer Manuel Valls.
Mayotte, le département le plus pauvre de France, est confronté à plusieurs défis majeurs : une forte pression migratoire, un habitat précaire avec de nombreux toits de tôle et bidonvilles, ainsi que des difficultés économiques et sociales.
Ce texte, attendu depuis plusieurs années par les élus mahorais, prévoit notamment un durcissement des conditions d’obtention du titre de séjour dans l’archipel, une aide au retour volontaire et la facilitation des évacuations d’habitats insalubres et illégaux.
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