
« Dmoune atèr i ress anlèr, dmoune anlèr i ress atèr. »
24 mars, parMézami si mi di azot mi yèm kan i diviz la sossyété an dë kalité d’moune : sat lé anlèr é sète lé atèr, sirésèrtin mi sava pa dann sanss mon (…)
14 mars
Avant même de penser à la reconstruction des logements, des infrastructures, le ministre Manuel Valls a confirmé la construction de cette base dans le cadre de la loi-programme prévue pour Mayotte, selon les informations d’Outremer360°.
Sa construction dans le nord de l’île principale a été souligné par le ministre qui a répondu à la députée Estelle Youssouffa (Liot), qui interpellait ce dernier sur la place de Mayotte dans la stratégie indopacifique française.
« L’immigration comorienne mais aussi la coordination avec les migrations africaines est un cas d’espèce de ce que l’Union européenne et l’Otan qualifient de menace hybride par instrumentalisation des flux migratoires avec la déstabilisation totale du territoire », a souligné la députée qui pointe aussi les soutiens chinois et russe à la revendication territoriale des Comores sur Mayotte.
Appelant à « prendre conscience de la place que Mayotte doit occuper dans la vision française dans l’océan Indien », Manuel Valls a ainsi confirmé cette base navale, ainsi que l’installation d’un commandement de la Gendarmerie nationale sur l’île principale.
Le ministre souhaite l’entrée de Mayotte au sein de la Commission de l’océan Indien, en tant que membre. Un dossier que Manuel Valls renvoie au chef de l’État.
Pour Paris, la base navale permettra de « garantir la surveillance permanente de l’approche du territoire et assurer le soutien des bâtiments de la Marine nationale », a expliqué le ministre.
Actuellement, Mayotte est dotée d’une base navale sur l’île de Dzaoudzi, appelée aussi Petite-Terre, où se trouve l’aéroport, la préfecture, l’actuel commandement de la Gendarmerie ou encore le détachement de la Légion étrangère.
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