
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Déclaration de l’UNICEF France, suite à l’annonce du plan « Mayotte debout » post cyclone Chido
14 janvier
L’UNICEF France exprime son inquiétude face au plan « Mayotte debout », déplorant l’absence de mesures suffisantes pour protéger tous les enfants de Mayotte. L’organisation demande des actions urgentes et non discriminatoires pour garantir leur accès à des abris, à l’eau, aux soins et à l’éducation.
« L’UNICEF France prend acte des mesures annoncées par le Premier ministre dans le cadre du plan « Mayotte debout » et exprime sa profonde inquiétude quant à l’absence de mesures suffisantes prises pour garantir la protection de tous les enfants de Mayotte.
Alors qu’un habitant sur deux est un enfant sur l’île, qu’ils ont urgemment besoin d’un accès à des abris adaptés et sécurisés, à l’eau potable, à l’électricité, aux soins et à l’éducation, il est urgent et fondamental de répondre spécifiquement à leurs besoins et prévoir des moyens massifs.
Nous dénonçons la priorité accordée à la reconduite à la frontière des familles étrangères hébergées dans les abris d’urgence et la fermeture des centres au détriment d’une mise à l’abri pérenne pour l’ensemble des familles. Nous partageons également notre inquiétude quant à la possibilité de tri qui pourrait s’opérer entre les enfants, notamment lorsqu’il s’agira d’envoyer certains enfants en hexagone (France — NDLR) pour assurer le droit à l’éducation. Le recensement de la population ne doit pas se faire au détriment des droits de l’enfant mais représenter une opportunité pour répondre aux besoins de tous les enfants.
Nous demandons de garantir et assurer dans les paroles et dans les actes l’universalité et l’inconditionnalité de la réponse à la crise, en appliquant le principe de non-discrimination.
L’UNICEF France se tient à la disposition du gouvernement de François Bayrou pour que l’intérêt supérieur de l’enfant soit pris en compte dans l’élaboration des prochains textes de loi sur Mayotte. ».
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