
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Enquête sur le clientélisme et la discrimination envers les résidents non-français à Mayotte
18 février, par
L’Association des maires de Mayotte a pris la décision, à partir de ce lundi 17 février, de suspendre sa participation aux distributions d’aide humanitaire organisées par la préfecture. Cette annonce intervient après la publication d’une enquête du journal « Le Monde ». Un article publié le 14 février révèle des soupçons de détournements de denrées alimentaires et de bouteilles d’eau.
Suite aux révélations du « Monde » sur des soupçons de détournement de l’aide humanitaire à Mayotte par des Mairies, dans un communiqué, l’association des maires de Mayotte explique que les élus municipaux ont choisi de se retirer de toute implication dans la gestion de la distribution de l’aide humanitaire. « Le Monde » rapporte en effet des témoignages anonymes affirmant que certaines denrées auraient été accaparées par des agents communaux et que des pratiques clientélistes auraient été observées. Interrogé à ce sujet, le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, a confirmé sur France Info avoir été surpris par l’absence de certaines livraisons sur le terrain.
Selon « Le Monde », la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a ouvert une enquête sur un possible trafic de bouteilles d’eau. Le préfet de Mayotte, François-Xavier Bieuville, a reconnu avoir reçu de nombreuses interrogations sur la répartition de l’aide humanitaire. Un fonctionnaire anonyme a notamment évoqué le cas d’un maire ayant demandé une livraison de denrées directement à son domicile.
Par ailleurs, l’enquête de « Le Monde » a également mis en lumière des soupçons de pratiques discriminatoires lors des distributions. Certaines personnes en situation irrégulière auraient été écartées ou maltraitées, selon des témoignages recueillis.
Face à ces accusations, le préfet a adressé un courrier aux maires pour leur rappeler leurs responsabilités légales et leur demander un plan détaillé des distributions.
Les maires de Mayotte dénoncent des accusations infondées et estiment être les boucs émissaires d’un système qu’ils n’ont pas mis en place. Ils critiquent également la décision de la préfecture de modifier la stratégie de distribution sans concertation préalable. Selon eux, les difficultés rencontrées sont avant tout dues aux effets du cyclone et aux insuffisances des livraisons de l’État.
L’Association des maires de Mayotte demande la levée immédiate des réquisitions sur l’eau et les autres biens essentiels, ainsi que la fin des restrictions imposées au port de Mayotte. Elle réclame également un déblocage immédiat des dotations d’urgence destinées aux collectivités.
Cette décision de retrait ne fait pas l’unanimité. Moudjibou Saidi, maire de Dembéni, refuse de priver sa population de l’aide disponible, notamment en pleine période de ramadan. Il prône plutôt un dialogue avec la préfecture pour apaiser les tensions. D’autres élus, comme Ali Moussa Moussa Ben, maire de Bandrélé, estiment que la distribution des denrées ne relève pas de la responsabilité des communes et préfèrent laisser cette mission aux structures spécialisées.
Le maire d’Acoua, Marib Haniffi, explique quant à lui que sa commune poursuivra la distribution des aides restantes, mais souhaite ensuite voir les magasins approvisionnés normalement pour éviter d’être accusé de favoritisme.
M.M.
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