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8 juillet, parMézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
25 octobre 2007
Une étude de l’Institut national des études démographiques révèle également que près de 6,5 millions de victimes de mutilations sexuelles vivent dans les pays du Nord.
L’Institut national des études démographiques (INED), présente, mardi 23 octobre, une étude qui indique que 100 à 140 millions de filles et de femmes ont subi des mutilations sexuelles dans le monde. Près de 6,5 millions des victimes de ces pratiques, qui ne sont pas liées à la religion, vivent dans les pays du Nord, en Europe principalement.
Les mutilations sexuelles ont de graves conséquences tant pour la santé physique que psychologique.
Des disparités selon les pays
Elles sont essentiellement pratiquées en Afrique sub-saharienne et dans certains pays du Proche-Orient et d’Asie du Sud-Est.
En Afrique, les mutilations, de l’excision partielle du clitoris à l’infibulation (suture de l’orifice vaginal), sont pratiquées dans 28 pays.
Mais le nombre de femmes excisées varie beaucoup selon les pays, soulignent les chercheuses de l’INED, Armelle Andro et Marie Lesclingand, de 1,4% au Cameroun à 96% en Guinée.
Bien que souvent présentée comme « la conséquence d’injonctions religieuses, notamment de l’islam », cette pratique date de « bien avant l’arrivée en Afrique des religions monothéistes, et aucun texte religieux ne permet de la justifier », soulignent les auteurs de l’étude.
Il n’y a pas de relation entre la diffusion de l’islam dans un pays et la proportion de femmes qui y sont excisées. En Ethiopie, les trois quarts des femmes sont excisées, alors qu’un tiers seulement de la population est musulmane, tandis qu’au Niger, 2% des femmes sont excisées, alors que le pays est presque entièrement musulman. En revanche, le Mali, également musulman, compte plus de 90% de femmes excisées.
50.000 femmes excisées vivent en France
Le principal facteur de risque est l’appartenance ethnique et non la religion, la pratique de l’excision s’inscrivant dans les rites d’initiation et d’entrée dans l’âge adulte dans certains groupes ethniques.
Ainsi, au Sénégal, l’excision est pratiquée parmi les minorités ethniques (Peul, Toucouleurs, Soninkés, Malinkés) et non chez les Wolofs majoritaires.
La pratique recule dans la plupart des pays depuis quelques années, mais lentement, et en fonction du degré de mobilisation des Etats.
Il a fallu attendre 2003 pour que les pays membres de l’Union africaine signent un protocole interdisant les mutilations sexuelles. Des lois existent dans la plupart des pays, mais sont encore rarement appliquées.
En France, l’étude estime à quelque 50.000 en 2004 le nombre de femmes adultes excisées parmi la population immigrée d’origine africaine, mais ne se prononce pas sur les mineures, aujourd’hui victimes de cette mutilation dans le pays d’origine.
La chirurgie réparatrice, pratiquée dans une dizaine d’hôpitaux et de cliniques, surtout en Ile-de-France, ouvre cependant la voie à une réversibilité des lésions.
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Messages
20 octobre 2010, 19:13, par Chantal Puig
Bonjour,
A tous ceux qui veulent participer à la lutte contre les mutilations génitales féminines. (MGF)
Depuis longtemps concernés, nous venons de créer ce groupe afin de permettre aux pays francophones de venir s’exprimer, et aussi pour échanger avec eux des informations dans leur langue.
Notre but :
Réunir tous les moyens pour éradiquer au plus vite cette cruelle pratique.
Nous acceptons toute association avec des organisations, des sites et des groupes de lutte contre la MGF, ce qui peut nous permettre de recueillir un maximum de voix pour une action commune.
« ENSEMBLE CONTRE L’EXCISION : MAINTENANT ! »
http://www.facebook.com/group.php?gid=155744417780767&ref=ts
Si vous êtes concernés, si vous voulez agir contre les mutilations génitales féminines,
n’hésitez pas à nous rejoindre !
Peut-être à bientôt ? Plus nous serons nombreux, plus nous serons efficaces !