
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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Un article de Salim Lamrani
9 août 2017, par
L’écrivain colombien, génie du réalisme magique dont les écrits ont marqué à jamais l’histoire littéraire universelle, s’est éteint au Mexique le 17 avril 2014 à l’âge de 87 ans.
Né le 6 mars 1927 à Aracataca, département de Magdalena, en Colombie, au sein d’une famille modeste de 16 enfants, Gabriel José de la Concordia García Márquez, surnommé Gabo par ses proches, est sans doute l’un des plus grands écrivains latino-américains.
Peu après sa naissance en 1929, ses parents Gabriel Eligio García et Luisa Santiaga Márquez Iguarán sont contraints de déménager à Barranquilla pour des raisons professionnelles. Le petit Gabriel est alors confié à ses grands-parents maternels.
Son grand-père, le colonel Nicolás Ricardo Márquez Mejía, surnommé Papalelo, vétéran de la Guerre des mille jours – conflit fratricide qui a opposé le Parti Libéral au Parti National entre 1899 et 1902 –, excellent conteur, a une grande influence sur lui et devient le « cordon ombilical avec l’histoire et la réalité ». Progressiste, il s’était insurgé contre le massacre des bananeraies en décembre 1928, où plus de 1 000 ouvriers agricoles grévistes de la United Fruit Company avaient été massacrés par l’armée colombienne, suite aux menaces de Washington d’envoyer ses propres troupes pour protéger les intérêts de la multinationale. Le colonel raconte cette tragédie à son petit-fils. Il lui fait également découvrir les trésors du dictionnaire. « Il est difficile d’oublier un tel grand-père », confiera García Márquez.
Sa grand-mère Tranquilina Iguarán Cotes, affectueusement surnommée « mamie Mina » par le jeune Gabriel, est une « femme superstitieuse et dotée d’une grande imagination ». Elle le passionne elle aussi par ses histoires et ses récits extraordinaires ainsi que par sa manière de les conter. Elle devient ainsi sa première source d’inspiration. « Depuis que je suis né, je savais que j’allais être écrivain. Je voulais être écrivain. J’avais la volonté, la disposition, la motivation et l’aptitude pour être écrivain. Je n’ai jamais pensé que je pouvais faire autre chose que cela. Je n’ai jamais pensé que je pourrais en vivre. Mais j’étais disposé à mourir de faim pour être écrivain ».
A la mort de son grand-père en 1936, le jeune Gabriel, alors âgé de 9 ans, rejoint ses parents à Sucre. Il est envoyé en internat à Barranquilla, situé sur la rive du fleuve Magdalena, puis au collège des jésuites San José en 1940. Il obtient une bourse et poursuit ses études secondaires au Lycée national de Zipaquirá, situé à une heure de Bogotá.
En 1947, il entreprend des études de Droit à l’Université nationale de Colombie, à Bogotá et s’adonne à la lecture. Il dévore Ernest Hemingway, James Joyce, Virginia Woolf et surtout William Faulkner, son « maître ». Il est également marqué par Franz Kafka et son livre La métamorphose, qui lui inspirera son premier conte. Il se passionne également pour les classiques de la tragédie grecque tels qu’Oedipe roi de Sophocle.
Le jeune García Márquez est profondément marqué par le mouvement poétique Piedra y Cielo qui a vu le jour en 1939. Il avouera plus tard : « Sans Piedra y Cielo, je ne suis pas sûr que je serais devenu [un bon] écrivain. J’y ai appris non seulement un système pour métaphoriser, mais plus important encore, un enthousiasme pour la poésie qui, chaque jour qui passe, me manque davantage et me rend profondément nostalgique ».
S’inspirant des récits de sa grand-mère, il décide de se lancer dans l’écriture et publie son premier conte, La tercera resignación, dans le journal El Espectador, le 13 septembre 1947.
Le 9 avril 1948, Gabriel García Márquez est pris dans le tourbillon du Bogotazo, une explosion sociale sanglante qui fait suite à l’assassinat du leader politique socialiste Jorge Eliécer Gaitán. L’université est fermée et la pension où il est logé est ravagée par les flammes. Il décide donc de s’inscrire à l’Université de Carthagène.
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