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Un article de Salim Lamrani
11 août 2017, par
L’écrivain colombien, génie du réalisme magique dont les écrits ont marqué à jamais l’histoire littéraire universelle, s’est éteint au Mexique le 17 avril 2014 à l’âge de 87 ans.
En décembre 1957, García Márquez obtient un poste au sein du journal Momento, à Caracas. Un mois plus tard, il est témoin direct du soulèvement populaire contre le dictateur vénézuélien Marcos Pérez Jiménez, qui se réfugie en République dominicaine. En mai 1958, il devient rédacteur en chef de Venezuela Gráfica.
En 1958, il épouse Mercedes Barcha, qu’il connait depuis sa vie d’étudiant et à qui il voue un amour passionné. Elle l’accompagnera tout au long de sa vie. Il explique le secret de sa réussite matrimoniale : « Il y a trois vies : la vie publique, la vie privée et la vie secrète. Les femmes sont présentes dans toutes les trois. Je m’entends mieux avec les femmes qu’avec les hommes. Il y a une clé matrimoniale importante : les femmes disent que l’on résout les problèmes avec le dialogue. C’est tout le contraire : si l’on discute d’un problème, on débouche obligatoirement sur une dispute. Il faut faire confiance, oublier et aller de avant ».
En 1959, suite au triomphe de la Révolution cubaine, il participe à la fondation de l’agence de presse Prensa Latina et en devient le correspondant à Bogotá. En 1961, il est nommé correspondant à New York et s’y installe en famille. Mais, suite aux intimidations des autorités et aux menaces des exilés cubains, il est contraint de quitter les Etats-Unis.
Gabriel García Márquez se rend à Mexico avec sa famille, « inconnu et sans un sou en poche ». C’est dans la capitale mexicaine qu’il passera une grande partie de sa vie. En 1962, son roman La mala hora remporte le prix de l’Académie colombienne des Lettres.
Gabriel García Márquez est également un passionné de cinéma : « J’ai tellement aimé le cinéma que je m’y suis lancé pour les mêmes raisons que j’ai écrit des romans et des contes et que j’ai fait du journalisme : c’était une autre façon de raconter la vie ». Il a suivi des études de cinéma au Centro Sperimentale di Cinematografia de Rome, en compagnie du Cubain Julio García Espinosa et de l’Argentin Fernando Birri, les futurs créateurs du Nuevo Cine Latinoamericano. Il est marqué par le néoréalisme italien et collabore avec Cesare Zavattini. Il a été le scénariste de plusieurs œuvres. Son premier court-métrage, La langosta azul, a été réalisé en 1954. A partir de 1963, il se consacre au septième art et rédige de nombreux scénarios tels que El gallo de oro de Roberto Gavaldón en 1964, En este pueblo no hay ladrones d’Alberto Isaac en 1965, Tiempo de morir de Arturo Ripstein en 1966 qui reçoit le premier prix au Festival international du Film de Carthagène, Pasty, mi amor de Manuel Michel en 1968, Presagio de Luis Alcoriza en 1974, entre autres.
Gabriel García Márquez sera également à l’origine de la création de la Fondation du Nouveau Cinéma Latino-américain en 1986, dont le siège se trouve à La Havane et en sera le Président jusqu’à sa mort. La même année, il fonde l’Ecole internationale de cinéma et de télévision à San Antonio de Los Baños à Cuba, qui deviendra une référence mondiale. Grand admirateur de Woody Allen, il collabore également à de nombreuses reprises avec la télévision.
Salim Lamrani
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