
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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FAO
23 septembre 2009
Des perspectives de mauvaises récoltes en Afrique de l’Est suite à une pluviométrie insuffisante, associées aux conflits et aux déplacements de populations aggravent une situation d’insécurité alimentaire déjà sérieuse dans la région, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Près de 20 millions de personnes dépendent actuellement d’une aide alimentaire dans la région et ce nombre pourrait augmenter alors que le spectre de la famine s’annonce, particulièrement pour les petits agriculteurs et éleveurs ainsi que les habitants des quartiers urbains pauvres.
Les effets du phnénomène climatique "El Nino", qui apporte généralement de fortes pluies vers la fin de l’année, pourraient faire empirer la situation en provoquant des inondations et des glissements de terrain, en détruisant les récoltes dans les champs et dans les greniers, en décimant le bétail et en détruisant les infrastructures et les habitations.
A travers l’Afrique de l’Est, les prix du maïs, une denrée de base, ont enregistré une tendance à la baisse depuis le début de cette année, mais ils restent plus élevés qu’il y a deux ans, indique la FAO dans un communiqué de presse.
En Ouganda et au Kenya, par exemple, les prix du maïs au mois de juin 2009 avaient presque doublé par rapport à ceux d’il y a deux ans. A Khartoum, au Soudan, en juin 2009, les prix du sorgho, une autre denrée de base, avaient plus que doublé par rapport à juin 2007. De même, les prix à Mogadiscio, en Somalie, restent plus élevés que durant la période d’avant la crise, malgré leur baisse depuis la mi- 2008.
Etant donné la faiblesse du pouvoir d’achat des ménages, il faut s’attendre à une dégradation de la situation de la sécurité alimentaire, avertit la FAO.
Pour les éleveurs, l’insuffisance des pâturages a aggravé les conditions de survie du bétail et réduit les perspectives du marché, avec un impact sur leurs revenus et leur capacité à avoir accès aux denrées de première nécessité.
En outre, les taux de reproduction du bétail ont souffert des mauvaises saisons des pluies successives depuis 2007, rendant la relance des systèmes de survie pastorale plus difficile et aggravant à long terme l’insécurité alimentaire.
En Ouganda, la production de la première saison des récoltes de 2009, qui s’est achevée au début du mois d’août est bien en-dessous des niveaux moyens et annonce ainsi la quatrième mauvaise récolte successive.
Dans la région d’Acholi dans le nord de l’Ouganda, la première saison de la production céréalière et de légumineuses est estimée à environ 50 pour cent en dessous de la moyenne, ce qui limite la capacité des ménages à reconstituer les stocks alimentaires et à améliorer leur sécurité alimentaire, suite à plusieurs années de déplacements dûs aux troubles civils.
Plus d’un million de personnes sont estimées être dans une situation de précarité alimentaire. Ce nombre pourrait augmenter avec la progression de la saison sèche jusqu’à la mi-novembre.
Au Kenya, la production insuffisante du maïs du fait des "longues pluies" de 2009, associée à des stocks céréaliers déjà presque épuisés, les interdictions d’exportation dans les pays voisins et la persistance du coût élevé des céréales, ont réduit l’accès à la nourriture. La culture du maïs, qui représente 80 pour cent du total de la production annuelle, est estimée à 1,84 million de tonnes, environ 28 pour cent en-dessous du niveau normal.
Les migrations forcées entraînées par la quête de points d’eau et de pâturages ont aggravé les conditions de vie du bétail, augmenté les épidémies et exacerbé les conflits pour les ressources entre les éleveurs.
En Ethiopie, la production de la saison agricole secondaire ("belg") est également estimée à des niveaux en-dessous de la moyenne. La rareté des pluies a entraîné une chute de la production pouvant aller jusqu’à 75 pour cent dans les régions les plus touchées.
Avec l’échec partiel de la saison du "belg", le nombre de personnes nécessitant une aide d’urgence devrait passer de 1,3 million à 6,2 millions, selon la FAO. Les perspectives de la saison de "kremti" sont également mauvaises en Erythrée.
Selon l’Unité d’analyse de la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la FAO, la Somalie est confrontée à sa pire crise humanitaire depuis 18 ans, avec à peu près la moitié de la population - environ 3,6 millions de personnes - qui ont besoin d’une assistance humanitaire d’urgence.
Il s’agit de 1,4 million de ruraux affectés par la sécheresse, d’environ 655.000 urbains confrontés à la flambée des prix des produits alimentaires et non-alimentaires et d’1,3 million de déplacés internes du fait de l’escalade des conflits.
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