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Le Premier ministre de la Grèce rencontre son homologue d’Allemagne
25 mars 2015, par
Après des semaines de tensions, le Premier ministre grec Alexis Tsipras et la chancelière allemande, Angela Merkel, sont parvenus à « dépasser les stéréotypes » afin de trouver un compromis avec les dirigeants européens.
À l’occasion d’un point presse, suite à sa première visite en tant que Premier ministre à Berlin, Alexis Tsipras a affirmé que « les Grecs ne sont pas paresseux et les Allemands ne sont pas responsables de tous les maux de la Grèce. Nous devons travailler dur pour dépasser ces stéréotypes ». Même son de cloche pour Angela Merkel, qui a répété, qu’il fallait éviter « tous les types de stéréotypes », a approuvé Mme Merkel.
Les deux pays étaient en total désaccord sur les réformes à mener en Grèce en échange d’une aide financière des créanciers européens. Toutefois, la chancelière a reconnu que « des questions difficiles » subsistaient, tout comme les “désaccords” entre Athènes et Berlin. Cependant, elle a assuré vouloir « une coopération dans un esprit de confiance mutuelle ».
« Nous voulons une Grèce économiquement forte, nous voulons de la croissance en Grèce et notamment que l’on réduise le très haut chômage des jeunes », a indiqué Angela Merkel, pour qui il faut des « réformes structurelles et une administration efficace, je crois que nous sommes d’accord là-dessus ».
La rencontre entre les deux chefs de gouvernement avait pour objectif de « mieux nous comprendre », car « il n’y a pas d’autre voie que le dialogue ». En dépit de cette entente retrouvée Alexis Tsipras ne déroge pas sur son programme politique, qui l’a d’ailleurs fait élire. Ce dernier a appelé son opposition aux politiques d’austérité menées en Europe et donner sa propre vision des réformes qu’il allait mener dans son pays.
Pour ce dernier, « le plan de sauvetage n’a pas été un succès », car le PIB du pays a chuté de 25 %, le chômage a augmenté tout comme les inégalités sociales et la pauvreté. Cet échec de la politique d’austérité menée depuis 2010 en Grèce a été reconnu par des institutions internationales, comme le FMI, second bailleur du pays.
Malgré tout, le gouvernement grec a tenu à ouvrir la discussion, « bien sûr, nous ne voulons pas détruire le positif des dernières années, nous devons trouver un nouveau dosage politique pour résoudre les problèmes ». Ce dosage ne passe plus par la suppression des postes dans la fonction publique, la hausse des impôts, la réduction des budgets de l’Etat, mais dans la lutte contre la fraude fiscale et la corruption.
La visite d’Alexis Tsipras à Berlin avait pour but, non pas de demander de l’argent au gouvernement allemand comme d’autres représentants européens, mais « poser une base commune » au dialogue entre les deux pays.
Il a rappelé que « les problèmes de liquidité à moyen terme » du pays « étaient connus » et qu’il en avait “hérités”. Le pays doit rembourser ces échéances, alors que les caisses sont presque vides. Athènes attend le déblocage au moins partiel de la dernière tranche de prêts de 7,2 milliards d’euros prévue dans le cadre de la prolongation de l’aide financière, actée le 20 février par les Européens.
Pour sa part, la chancelière a rappelé que l’octroi des aides et les contreparties exigées par les créanciers relevaient de discussions multilatérales au sein de la zone euro et avec les institutions FMI et BCE. Un moyen de se dédouaner de toute responsabilité, alors que l’Allemagne est la première économie d’Europe et que la chancelière est celle qu’il faut convaincre en premier pour pouvoir mener ses discussions à terme.
D’ailleurs, le versement de cette seconde tranche dépendra de la mise en œuvre des réformes, souhaitées ardemment par la troïka, et l’Allemagne en tête. Mais Alexis Tsipras a rappelé qu’il n’y aurait « pas de nouvelles mesures d’austérité ».
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