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Alliance des États du Sahel
26 juin 2024
Le Mali et le Burkina Faso sont deux États ouest-africains, avec le Niger, qui ont refusé la présence de l’armée française sur leur sol. Ils ont également annoncé leur départ de la CEDEAO et la constitution d’une nouvelle organisation d’intégration régionale, l’Alliance des États du Sahel. Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traore a reçu en audience ce mardi, le Président de la République du Mali, le Colonel Assimi Goïta. Le Président malien Assimi Goïta a déclaré qu’avec la création de l’AES, les Chefs d’État ont décidé de prendre leur destin en main, « de sortir des partenariats de façade et non efficaces pour nous orienter vers des partenaires sincères tels que la Russie, la Chine, la Turquie ». La coopération entre les deux pays et la question sécuritaire ont été les sujets majeurs traités par les deux Hommes d’État
Le Président de la République du Mali, le Colonel Assimi Goïta a rencontré hier le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traore en visite officielle.
La coopération entre les deux pays et la question sécuritaire ont été les sujets majeurs traités par les deux Hommes d’Etat. « Nous avons fait le point de notre coopération sur le plan bilatéral, abordé les questions sécuritaires et les questions sur le plan du développement économique. Nous avons parlé surtout de défis auxquels nous sommes confrontés et comment élaborer des projets afin de pouvoir gérer ces défis », a indiqué le Président malien, le Colonel Assimi Goïta, qui a animé un point de presse à l’issue du tête-à-tête avec son homologue burkinabè.
Pour lui, il a été aussi question de dégager des perspectives orientées vers, non seulement la sécurisation des populations burkinabè et maliennes mais surtout, vers le développement socio-économique des deux pays. Selon le colonel Goïta, la coopération sécuritaire avec le Burkina Faso s’est améliorée et renforcée avec l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traore au pouvoir.
« Aujourd’hui cette coopération se situe à trois niveaux. Il s’agit des formations conjointes que nous menons entre les deux États en vue de renforcer nos capacités opérationnelles terrestres et aériennes, le partage de renseignement entre nos services de renseignements et la mutualisation de nos moyens », a soutenu le Chef de l’Etat malien.
Se prononçant sur la situation sécuritaire de son pays, le Président de la République du Mali a rassuré qu’elle est sous contrôle et que la peur a même changé de camp. « Les FAMA gardent l’initiative sur le terrain. (…) Elles sont déployées sur toute l’étendue du territoire national », a rappelé le Colonel Goïta.
Il a par ailleurs souligné le retour de l’administration et les services sociaux de base dans les différentes localités. Pour le Président Goïta, la sécurisation du référendum et du dialogue inter malien sont à mettre à l’actif des FAMA.
Selon le Colonel Goïta, beaucoup de bases terroristes ont été détruites, des leaders terroristes neutralisés avec la reddition de plusieurs terroristes jadis actifs sur le terrain. Il s’est dit confiant et a indiqué que dans le Sahel, « la situation est sous contrôle également ».
Le Président malien Assimi Goïta a déclaré qu’avec la création de l’AES (Alliance des États du Sahel), les Chefs d’État ont décidé de prendre leur destin en main, « de sortir des partenariats de façade et non efficaces pour nous orienter vers des partenaires sincères tels que la Russie, la Chine, la Turquie ».
« Ces nouveaux partenariats ont permis aux trois pays de bien s’équiper et de mener avec efficacité les opérations contre les groupes armés terroristes », a-t-il précisé.
« Le terrorisme est devenu un enjeu géopolitique dans la main de certains partenaires stratégiques. Mais ce défi de la lutte contre le terrorisme, qui est manipulé et financé par certaines puissances étrangères, est loin de répondre aux aspirations de nos populations. Raison pour laquelle nous avons décidé de mutualiser nos moyens, de partager nos informations et de faire des opérations avec beaucoup de résultats. Nos destins sont liés, nous avons pris un chemin de non-retour. Que ce soit clair », a soutenu le président malien.
Convaincu qu’on ne peut parler de développement sans parler d’agriculture, de commerce, d’infrastructures et d’industrialisation, le Colonel Goïta annonce que « nos experts sont en train de travailler, et vont nous faire des propositions. Nous allons voir dans quelle mesure nous allons mettre en œuvre ces propositions pour le bien-être de nos populations ».
En termes de perspectives, les pays de l’AES entendent renforcer la collaboration dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et travailler à répondre aux aspirations des différents peuples.
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