
« I vo myé fèr anvi k’pityé. »
18 mars, parMézami, si mi di azot mi yèm kozman-la-i vo myé fèr anvi k’pityé- zot va pétète trouv sa étonan pars in moune i fé anvi sé par son fizik, par son (…)
L’ONU Femmes fait un point détaillé sur des conséquences de six mois de bombardement par l’armée d’occupation de la Palestine
17 avril 2024
Ce 16 avril, ONU Femmes a publié sa dernière Alerte Genre sur Gaza. Six mois après le début de la guerre, 10 000 femmes palestiniennes ont été tuées à Gaza, dont environ 6 000 mères, laissant 19 000 enfants orphelins. Les femmes qui ont survécu aux bombardements et aux opérations terrestres israéliennes ont été déplacées, ont perdu leur mari et sont menacées par la famine. Cet impact différencié du conflit sur les femmes continue de faire de la guerre contre Gaza aussi une guerre contre les femmes.
Plus d’un million de femmes et de filles palestiniennes à Gaza ont presque aucun accès à la nourriture ou à l’eau potable et les maladies se propagent dans des conditions de vie inhumaines.
La série « Alerte genre » élaborée par ONU Femmes sur Gaza offre une analyse détaillée de la réalité des femmes et des filles dans la bande de Gaza, documentant leurs conditions de vie abominables. L’Alerte genre publiée hier, intitulée « Scarcity and Fear » [Pénurie et peur], porte sur le manque d’accès aux services d’eau, d’assainissement et d’hygiène (WASH), qui sont essentiels à la santé, à la dignité, à la sécurité et à l’intimité des femmes.
Plus d’un million de femmes et de filles palestiniennes à Gaza sont confrontées à une crise alimentaire catastrophique avec presque aucun accès à la nourriture, à l’eau potable, à des toilettes fonctionnelles ou à l’eau courante, ce qui met leur vie en danger. L’accès à l’eau potable est particulièrement crucial pour les mères qui allaitent et les femmes enceintes, dont les besoins quotidiens en eau et en calories sont plus importants. Il est également indispensable pour permettre aux femmes et aux filles de gérer leur hygiène menstruelle avec dignité et en toute sécurité. ONU Femmes estime que dix millions de serviettes hygiéniques jetables – ou quatre millions de serviettes hygiéniques réutilisables – sont nécessaires chaque mois pour couvrir les besoins de 690 000 femmes et filles à Gaza.
« À Gaza, nous [les femmes] ne pouvons pas satisfaire nos besoins les plus simples et les plus élémentaires : bien manger, boire de l’eau potable, accéder à des toilettes, avoir des serviettes [hygiéniques], prendre une douche [...] changer de vêtements [...] » – une femme de Gaza.
« À ce jour, plus de dix mille femmes ont été tuées, dont environ six mille mères. Les femmes qui ont survécu aux bombardements souffrent quotidiennement de la faim et des maladies et vivent en permanence dans la peur. La guerre à Gaza est sans nul doute une guerre contre les femmes, qui paient un lourd tribut à un conflit dont elles ne sont pas responsables », a déclaré Susanne Mikhail, directrice régionale d’ONU Femmes pour les États arabes, lors d’un point presse à Genève.
La paix est le seul moyen de mettre un terme à ces souffrances. ONU Femmes se joint aux appels à la mise en œuvre de la Résolution 2728 (2024) du Conseil de sécurité des Nations Unies adoptée le 25 mars 2024, qui exige un cessez-le-feu immédiat à Gaza, la libération de tous les otages et un accès sûr et sans entrave à l’aide humanitaire.
ONU Femmes travaille avec des organisations de femmes palestiniennes et des partenaires au sein des systèmes/espaces humanitaires pour défendre les droits et les besoins des femmes et des filles et pour fournir l’assistance requise de toute urgence. À Gaza, ONU Femmes a distribué de la nourriture, des couvertures, des vêtements d’hiver, du savon, des couches et des trousses d’hygiène à près de 100 000 femmes et à leurs familles. Des dizaines de milliers d’autres articles sont coincés depuis des semaines aux postes-frontière. Il ne s’agit là que d’une fraction de ce dont les femmes et les filles de Gaza ont besoin. Comme l’indiquent les conclusions concertées de la Commission de la condition de la femme qui s’est tenue récemment, les femmes et les filles doivent être au cœur de notre réponse humanitaire collective.
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