
« I vo myé fèr anvi k’pityé. »
18 mars, parMézami, si mi di azot mi yèm kozman-la-i vo myé fèr anvi k’pityé- zot va pétète trouv sa étonan pars in moune i fé anvi sé par son fizik, par son (…)
Recul du parti au pouvoir aux législatives
7 juin 2024
Le parti d’extrême droite à la tête du gouvernement depuis 10 ans en Inde a perdu la majorité absolue et devra convaincre des alliés de continuer à le soutenir pour garder le pouvoir. Le Parti du Congrès et ses alliés ont obtenu 234 sièges, contre 240 au BJP. Le maintien au pouvoir du BJP inquiète les démocrates et les défenseurs des droits humains.
Selon les résultats provisoires, le BJP du Premier ministre sortant Narendra Modi obtient 240 sièges dans le nouveau Parlement et perd la majorité absolue, qui est à 272 sièges. Il revendique la victoire car il s’appuie sur la coalition Alliance démocratique nationale qu’il dirige et qui totalise 292 élus, mais tous ne sont pas sûrs d’être aux côtés du BJP au Parlement, selon « Le Monde ». Le BJP est suivi par le Parti du Congrès et ses alliés avec 234 sièges.
Les composantes autres que le BJP seront donc courtisées par le parti d’extrême droite pour que ce dernier reste au pouvoir.
Le maintien d’un gouvernement dirigé par le BJP en Inde inquiète de nombreux démocrates.
Paru dans « News Humanitarian », un article de Imran Muzaffar, journaliste et universitaire de New Delhi, en Inde, rappelle l’idéologie du BJP, parti de Narendra Modi :
« Deux jours seulement après le début des élections générales de six semaines en Inde, le Premier ministre Narendra Modi a lancé une nouvelle tirade contre la plus grande minorité religieuse du pays : lors d’un rassemblement dans l’État du Rajasthan, à l’ouest du pays, Modi a qualifié les 200 millions de musulmans indiens d’« infiltrés ».
Ces remarques ont suscité une levée de boucliers. Des milliers de membres de la société civile en colère ont écrit à la Commission électorale pour demander des mesures contre le Premier ministre pour son « discours dangereux », le qualifiant d’« attaque directe » contre les musulmans indiens.
Mais rien de tout cela n’est plus nouveau ou inattendu en Inde. En tant que membre d’une communauté minoritaire, je suis confronté quotidiennement à de telles attaques, même si elles restent symboliques.
Depuis que Modi et son parti Bharatiya Janata (BJP) sont arrivés au pouvoir en 2014, tous les aspects de la société civile ont été la cible d’attaques de plus en plus éhontées.
Mais alors que Modi s’apprête à assumer le poste de Premier ministre pour un troisième mandat consécutif, son utilisation ouverte de termes comme « votez pour le jihad » pendant la campagne électorale est désormais un sujet de grave préoccupation pour les musulmans indiens et pour les minorités en général.
Au cours de ses 10 années à la tête du pays, Modi a déjà montré de quoi lui et son BJP sont capables : une poussée populiste effrontée en faveur d’une plus grande privation du droit de vote des non-hindous et des tentatives de resserrer leur emprise sur le pouvoir par à peu près tous les moyens nécessaires. (...)
Ce qui a retenu moins l’attention internationale, c’est le fait que le BJP est une extension du Sangh Parivar, un collectif d’organisations militantes Hindutva dirigé par le Rashtriya Swayamsevak Sangh ou RSS – qui veut voir l’Inde comme un rashtra ou une nation hindoue.
L’émergence d’un pays explicitement hindou transformerait l’État indien en l’antithèse de ce qui était envisagé dans sa constitution. »
Mézami, si mi di azot mi yèm kozman-la-i vo myé fèr anvi k’pityé- zot va pétète trouv sa étonan pars in moune i fé anvi sé par son fizik, par son (…)
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