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Réunion d’information samedi 29 juin à 14 heures à Saint-Denis
25 juin 2024, par
Suite à l’escalade de la répression en Kanaky Nouvelle-Calédonie et suite à la déportation de prisonniers politiques en France, le Parti communiste réunionnais « demande la libération immédiate des prisonniers politiques calédoniens retenus en France et leur retour au pays », « se joint aux nombreuses organisations et États partout dans le monde qui condamnent la politique de Paris en Kanaky Nouvelle-Calédonie ». « Le PCR souligne que le monde change et que Paris doit accepter la main tendue : négocier une période de transition », précise le communiqué.
Le PCR invite à une réunion sur la Kanaky Nouvelle-Calédonie, le samedi 29 juin à 14 heures au Parvis des Droits de l’Homme, Champ-Fleury à Saint-Denis.
Pendant 6 mois, le CCAT a organisé de grandes manifestations pacifiques en Kanaky Nouvelle-Calédonie pour protester contre la volonté de Paris de prendre parti pour les anti-indépendantistes en remettant en cause l’Accord de décolonisation de Nouméa. L’objectif de cette remise en cause est de rendre tout retour à l’indépendance impossible en faisant des Kanaks une part minoritaire dans le corps électoral amené à s’exprimer sur cette question.
En faisant voter un projet de loi constitutionnelle dans ce sens, le gouvernement a mis fin à une période de paix de 30 ans. Depuis, les violences sont quotidiennes. Des milices armées anti-indépendantistes agissent dans l’impunité, soulignent les observateurs. Les Calédoniens sont contraints de s’organiser. Les affrontements ont fait neuf morts.
La semaine dernière, les forces de répression ont mené une grande opération ciblant les indépendantistes. 11 personnes furent arrêtées, elles ont été traitées comme des terroristes alors qu’elles ne font que militer pour une juste cause. Elles sont donc des prisonniers politiques. Dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs furent déportées vers des prisons en France, à 17000 kilomètres de chez elles.
Le PCR demande la libération immédiate des prisonniers politiques calédoniens retenus en France et leur retour au pays.
Le PCR se joint aux nombreuses organisations et États partout dans le monde qui condamnent la politique de Paris en Kanaky Nouvelle-Calédonie et demandent le retour de la paix ainsi que le respect du droit à la décolonisation.
Le PCR rappelle qu’aux yeux des indépendantistes, la confiance envers Paris est rompue. L’Union calédonienne a fixé au 24 septembre la date de proclamation de la Déclaration de souveraineté de la Kanaky Nouvelle-Calédonie. Une cinquantaine d’États sont déjà prêts à suivre. Leur nombre ne pourra qu’augmenter au vu de l’intensification de la répression. La négociation d’une période de transition est proposée.
Le PCR souligne que le monde change et que Paris doit accepter la main tendue : négocier une période de transition. Il faut d’urgence trouver les voies du dialogue. La médiation d’une organisation internationale apparaît dorénavant comme seule garantie de neutralité dans le processus de retour à l’indépendance de la Kanaky Nouvelle-Calédonie.
Le PCR invite à une réunion d’échanges d’information sur la situation en Kanaky Nouvelle-Calédonie et les perspectives. Rendez-vous est donné samedi 29 juin à 14 heures au Parvis des Droits de l’Homme, Champ-Fleury à Saint-Denis.
Le 24 juin 2024
Bureau de presse du PCR
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Messages
24 juin 2024, 14:46, par Arthur
Erreur, samedi qui vient, nous serons le 29 et non le 26 juin ! Combien de kanaks vivent à la Réunion ? A l’inverse, parmi les calédoniens, on estime à 10%, à vérifier, ceux d’origine réunionnaise, c’est pourquoi là bas, on consomme des achards, on y vend du rhum charrette, et les métros sont des oreilles. Les premiers avaient eu l’idée d’y implanter le letchi, des variétés de mangues, de jaques, sans oublier la canne, le café etc. Comment y surnomme-t-on ceux d’origine réunionnaise ? Les bourbonnais ! Il y avait aussi un train, à voie métrique lui aussi, vite abandonné au profit de la voiture. Lors des précédentes élections municipales, un projet de tramway avait été proposé par Madame Sonia Lagarde, qui même en étant élue à plusieurs mandats, rien ne semble être fait à ce sujet, finalement, c’est comme à la Réunion, patience dans les sempiternels bouchons, pollution. Tout se tient, s’explique et se défend aussi, Arthur.
24 juin 2024, 19:15, par Benoît Blard
Moin la u l’opportunité d’aller depuis Tahiti en Déc 1994-janv 1995, en péi Kanaky.
Et de rencontrer les Bourbonnais.
Le plus dur pour moi était de voir l’ostracisme des gens tndance Lafleur vis -à-vis des canaques.
Insupportable. Pour un créole de gauche..
24 juin 2024, 19:29, par Benoît Blard
Les kanaky sont sur leur territoire depuis des siècles...voire millénaire.
Laissons les décider de reprendre ce qu’on leur a spolié.
Ce serait justice.
Les caldoches sont venus bagnards en 1870.
Ils ne sont donc pas propriétaires des lieux.
Enfin...comme les Pieds Noirs.Pareils.