
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Définir les étapes de la transition
18 février
Les Assises nationales du Niger se sont ouvertes le 15 février 2025 à Niamey, marquant une étape cruciale dans la transition politique du pays. Ces consultations, prévues jusqu’au 19 février, visent à définir la durée et les modalités de la transition amorcée après le renversement du régime précédent en 2023.
Le général Abdourahamane Tiani, chef de l’État et président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), a convoqué ces assises pour établir une feuille de route claire pour le retour à un régime civil.
Cinq jours d’ « assises nationales » doivent déterminer la durée de la transition, suite au coup d’État de juillet 2023. Cette rencontre est censée permettre de définir les étapes à venir pour le pays.Une commission nationale, dirigée par le Dr Mamoudou Harouna Djingareye, chef traditionnel respecté, a été mise en place pour superviser les travaux. Cette commission est composée d’anciens ministres, d’universitaires, de juristes, de militaires, de conseillers du général Tiani, de chefs religieux et de figures de la société civile. Elle est structurée en cinq sous-commissions thématiques, abordant des sujets tels que la paix, la sécurité, la réconciliation nationale, la refondation politique et institutionnelle, ainsi que la justice et les droits de l’homme. Plusieurs partis politiques et ONG ne participent pas à ces assises nationales. Parmi elles, on peut citer l’Ordre des avocats et Transparency International-Niger.
Lors de l’ouverture des assises, le général Tiani a souligné quatre conditions essentielles pour assurer une transition harmonieuse vers un gouvernement civil :
1. Stabilité sécuritaire : Renforcer les efforts pour pacifier les régions en proie aux violences et assurer la sécurité des citoyens.
2. Réformes institutionnelles : Mettre en place des structures politiques et administratives solides pour éviter les dérives autoritaires et garantir une gouvernance transparente.
3. Inclusion politique : Assurer la participation de toutes les composantes de la société nigérienne, y compris les groupes marginalisés, dans le processus décisionnel.
4. Souveraineté nationale : Affirmer l’indépendance du Niger dans ses choix politiques et économiques, en réduisant la dépendance vis-à-vis des influences extérieures.
Parallèlement à ces discussions internes, rappelons que le Niger a décidé de rompre ses accords de coopération militaire avec la France, une décision qui s’inscrit dans une tendance régionale. En effet, le Burkina Faso, le Mali et le Tchad ont également mis fin à leurs partenariats militaires avec la France. Burkina Faso, Mali et Niger sont sortis de la CEDEAO et ont fondé l’Alliance des États du Sahel (AES). Le Sénégal, quant à lui, est en cours de négociation pour le retrait des troupes françaises de son territoire. Ces décisions reflètent une volonté croissante des nations africaines d’affirmer leur souveraineté et de redéfinir leurs alliances stratégiques.
Les Assises nationales représentent donc un moment important pour l’avenir politique du Niger.
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