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Accord à Minsk entre Ukrainiens, Russes, Français et Allemands
13 février 2015, par
Les autorités ukrainiennes et les séparatistes pro-russes ont signé jeudi 12 février une feuille de route visant à ramener la paix en Ukraine. Les dirigeants russes, ukrainiens, français et allemands ont indiqué que cet accord prévoyait entre autres l’instauration d’un cessez-le-feu dès dimanche 15 février, et la création d’une zone tampon élargie.
« Cela a bien failli échouer », a lâché François Hollande, après seize heures de négociations à Minsk. Ce dernier admet que ce sommet « de la dernière chance » pour la paix en Ukraine a faillit aboutir à une impasse. « Ce matin, il y a eu des tensions à cause du refus des séparatistes de signer », a confié au quotidien Les Echos le président français.
En effet, les rebelles pro-russes de l’est de l’Ukraine, était une partie prenante des négociations du groupe de contact en charge avec Kiev, Moscou et l’OSCE de l’application des mesures de paix. Ils ont refusé plusieurs points : les conditions du cessez le feu, la délimitation de la ligne de démarcation, la création d’une zone démilitarisée, la réforme de décentralisation-fédéralisation de l’Ukraine et la définition du statut des régions aux mains des séparatistes. « Mais tout est bien qui finit bien !", s’est félicité François Hollande.
Effectivement, un accord a été signé afin d’empêcher une « guerre totale », comme l’avait indiqué François Hollande. Le président russe, Vladimir Poutine, s’est engagé à mettre en place un cessez-le-feu dans l’est de l’Ukraine, à partir du dimanche 15 février. De son côté, le président ukrainien, Petro Porochenko, a indiqué que le retrait des armes lourdes commencera mardi 17, et que les deux camps auront 19 jours pour libérer leurs otages.
« On a réussi à trouver un accord sur l’essentiel », s’est félicité Vladimir Poutine, qui a appelé « les deux parties à la retenue et à tout faire pour s’assurer que le retrait des troupes et de l’artillerie lourde se déroule sans nouvelles victimes et sans verser de sang, ce que personne ne veut », a-t-il expliqué devant la presse.
« Le Groupe de contact a signé le document que nous avons préparé avec une si grande tension », a pour sa part indiqué le président ukrainien, Petro Porochenko. Une tension qui reste encore vive sur le terrain après les incidents de cette semaine dans l’est du pays, poussant ce dernier a invoqué la mise en vigueur de la loi martiale, en cas de défaite de ces négociations. De son côté, François Hollande a expliqué au côté de la chancelière allemande, Angela Merkel, que « toutes les questions ont été traitées par ce texte qui a été signé par le groupe de contact et les séparatistes ».
Ainsi, les quatre dirigeants ont assuré que la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine seront respectées. Parmi les points négociés, certains préalables ont été convenus, tels que la mise en place d’un cessez-le-feu dimanche et le retrait des belligérants et de leurs armes lourdes permettant la création d’une zone tampon d’une largeur de 50 à 70 km.
Ces points essentiels règlent l’urgence, mais il est convenu que dans les prochaines semaines, les négociations porteront sur la mise en œuvre de « Minsk 2 ». Il s’agira de définir le statut des territoires de l’est du pays, le contrôle de la frontière, l’étendue de la zone sous influence des séparatistes et entre autres l’échange de prisonniers.
Malgré ces avancées, « nous sommes engagés dans un conflit de longue durée, il faut se préparer à vivre avec la menace russe pendant 20 à 30 ans », a indiqué un diplomate ukrainien à l’Agence France Presse. La chancelière allemande Angela Merkel a affirmé que « je ne me fais aucune illusion, nous ne nous faisons aucune illusion ». En dépit des obstacles, « il y a toutefois une vraie chance de faire évoluer les choses vers le meilleur », a-t-elle assuré.
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