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Crise humanitaire
22 janvier
Depuis le début de l’année, les violences dans l’est de la RDC ont déplacé plus de 230.000 personnes, portant à 4,6 millions le nombre total de déplacés internes. Les affrontements opposant groupes armés et forces congolaises exacerbent la crise humanitaire. L’accès aux populations est limité par l’insécurité. Le financement de l’action humanitaire reste insuffisant pour répondre aux besoins croissants.
La situation humanitaire dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) continue de se dégrader, avec plus de 230.000 personnes forcées de fuir leurs foyers depuis le début de l’année, selon l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Les provinces du Nord et du Sud-Kivu, déjà confrontées à une crise prolongée, comptent actuellement environ 4,6 millions de déplacés internes, ce qui fait de la RDC l’un des pays les plus touchés par les déplacements forcés au niveau mondial.
Les affrontements persistants entre les forces gouvernementales et les groupes armés non étatiques exacerbent la situation, provoquant des violations des droits de l’homme étendues et des souffrances indescriptibles. Les habitants de ces régions sont confrontés à des bombardements aveugles et à des violences sexuelles, tandis que l’usage d’armes lourdes dans les zones densément peuplées a causé de nombreuses pertes humaines, y compris parmi les enfants.
La précarité s’aggrave en raison de l’insécurité persistante, des barrages routiers et de la présence d’acteurs armés, compliquant l’acheminement de l’aide humanitaire. Entre le 1er et le 6 janvier, les intenses combats dans les territoires de Masisi et de Lubero (Nord-Kivu) ont poussé environ 150.000 personnes à l’exode. Beaucoup ont d’abord trouvé refuge à Masisi, avant d’être contraints à de nouveaux déplacements. Parallèlement, dans le Sud-Kivu, les violences à Fizi ont déplacé 84.000 personnes, le gouvernement local sollicitant une aide urgente.
Les conditions de vie des déplacés sont critiques, la plupart se retrouvant dans des abris surpeuplés ou des infrastructures publiques inadaptées, sans accès suffisant à l’eau, la nourriture et aux soins médicaux. Le HCR s’inquiète du sous-financement de l’aide humanitaire, son appel de fonds de 226 millions de dollars n’étant couvert qu’à hauteur de 10 %.
Bien que certains déplacés soient retournés à Masisi-Centre après une brève accalmie, la reprise des combats les a rapidement contraints à fuir de nouveau, illustrant l’instabilité persistante de la région. Les civils y subissent des violences répétées, des recrutements forcés et des accusations de collusion avec les factions armées.
Dans la province de la Tshopo, le conflit intercommunautaire opposant les groupes Mbole et Lengola perdure depuis deux ans, exacerbant les tensions ethniques et sociales. Les affrontements, nés d’un litige foncier, ont déjà causé la mort de 149 personnes et forcé le déplacement de 107.000 individus dans des conditions extrêmement précaires.
Le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) a recensé des violations graves, notamment des exécutions sommaires, des violences sexuelles et des dévastations systématiques de villages entiers. Des femmes ont été victimes de viols collectifs et d’actes de torture, tandis que des enfants, y compris un bébé de six mois, ont subi des traitements inhumains.
Les tensions restent vives, avec une organisation militaire croissante au sein des factions impliquées, aggravant le risque d’un conflit prolongé. Le HCR appelle à un accès humanitaire immédiat et à des efforts internationaux accrus pour protéger les populations civiles et atténuer les souffrances engendrées par cette crise humanitaire prolongée.
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