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25 janvier 2019
Juan Guaido, le président du Parlement vénézuélien contrôlé par l’opposition, s’est autoproclamé le 23 janvier ’président’ par intérim du pays. Il a immédiatement été reconnu par les Etats-Unis et ses alliés dans la région.
L’armée vénézuélienne, soutien infaillible du président socialiste Nicolas Maduro, a rejeté l’auto-proclamation de Juan Guaido. "L’armée défend notre Constitution et est garante de la souveraineté nationale", a affirmé le ministre de la Défense, Vladimir Padrino.
"Je jure d’assumer formellement les compétences de l’exécutif national comme président en exercice du Venezuela pour parvenir (...) à un gouvernement de transition et obtenir des élections libres", a lancé Juan Guaido devant des dizaines de milliers de partisans réunis à Caracas, dans une manifestation anti-Nicolas Maduro.
Le président américain Donald Trump a immédiatement annoncé dans un communiqué qu’il reconnaissait officiellement le jeune opposant de 35 ans comme "président par intérim du Venezuela".
En réponse, le président Maduro a annoncé que son pays rompait ses relations diplomatiques avec "le gouvernement impérialiste des États-Unis". Il a donné 72 heures aux représentants diplomatiques nord-américains pour quitter le pays.
La Colombie, le Brésil, l’Argentine, le Chili, le Paraguay et le secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA), Luis Almagro, ont reconnu Juan Guaido comme président par intérim. Luis Almagro a fait part de "sa reconnaissance pour impulser le retour de la démocratie dans ce pays".
En revanche, Cuba a apporté son "ferme soutien" au président Maduro face à une "tentative de coup d’État". Et le président du Mexique, Andrés Manuel Lopez Obrador, a indiqué maintenir son soutien au dirigeant socialiste, reconnaissant "les autorités élues selon la Constitution vénézuélienne".
A Bruxelles, l’Union européenne a appelé à écouter la "voix" du peuple du Venezuela et réclamé des élections "libres et crédibles". Federica Mogherini, chef de la diplomatie européenne, a indiqué que son institution espère lancer en février un groupe international de contact pour tenter de trouver une sortie à la crise.
Peu avant sa proclamation à la présidence, la Cour suprême vénézuélienne a annoncé avoir ordonné une enquête pénale contre les membres du Parlement, les accusant d’usurper les prérogatives du président Maduro.
Opposants et partisans du président Maduro sont descendus massivement dans les rues le 23 janvier dans tout le pays. Sept personnes sont mortes dans des troubles précédant les manifestations.
Le 23 janvier est une date historique, commémorant les 61 ans la chute de la dictature de Marcos Perez Jimenez, en 1958, opposants et partisans du président socialiste souhaitaient mesurer leur rapport de force.
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a été investi le 10 janvier pour un deuxième mandat, contesté par l’opposition et non reconnu par les Etats-Unis, l’Union européenne et de nombreux pays d’Amérique latine.
Les commerces, écoles et institutions sont restés fermés ce 23 janvier. Ils ont encore en mémoire, les violentes manifestations de 2017 ayant fait 125 morts.
Le 21 janvier, un bref soulèvement d’un groupe de 27 militaires a eu lieu. Ils se sont retranchés quelques heures dans une caserne du nord de Caracas, en lançant des appels à l’insurrection.
Dans la foulée de ce soulèvement, une trentaine d’émeutes avaient été enregistrées dans des quartiers populaires de la capitale et de sa banlieue. Et dans la nuit de lundi à mardi 22 janvier, des chars anti-émeutes avaient patrouillé dans la capitale.
L’insurrection s’est produite alors que l’opposition appelle l’armée à rompre avec le régime. Le Parlement a promis une "amnistie" aux membres de l’armée qui refuseraient de reconnaître le nouveau mandat du chef de l’Etat. Mardi, les députés ont approuvé cette proposition, défiant la décision de la Cour suprême, affiliée au régime, qui a déclaré nulles toutes leurs décisions.
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