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Crise politique dans la 3e économie de la zone euro
2 mars 2013, par
Le chef de l’alliance du centre gauche, Pier Luigi Bersani, a exclu une grande coalition avec la droite, en dépit du blocage politique issu des élections législatives, les 24 et 25 février. Ce dernier pense être à la tête d’un gouvernement minoritaire.
Dans une interview publiée vendredi 1er mars, dans le quotidien “La Repubblica”, Pier Luigi Bersani a déclaré : « Je veux le dire clairement : l’idée d’une grande coalition n’existe pas et n’existera jamais ». Majoritaire à la Chambre des députés, mais pas au Sénat, le chef de file du centre gauche dispose de prérogatives égales à celles de la Chambre basse, selon l’AFP.
Cette situation politique devrait ternir un peu les perspectives économiques du pays. En effet, l’Italie poursuit sa récession, selon les données publiées vendredi par l’Institut National des Statistiques italien (Istat). Le PIB s’est contracté de 2,4% en 2012 après avoir progressé de 0,4% l’année précédente. Conforme aux estimations du gouvernement italien publiées en septembre, la Banque d’Italie avait, elle, avancé un pronostic de -2,1%. Les données négatives restent la consommation qui a reculé de 3,9% en volume et les investissements fixes qui ont chuté de 8%. Les exportations de biens et services ont progressé de 2,3%, alors que les importations ont diminué de 7,7%.
À la recherche d’une coalition
En 2012, le déficit budgétaire du pays a été de 3% du PIB en 2012 (contre 3,8% en 2011), en dessous des prévisions du gouvernement de Mario Monti qui l’attendait à 2,6%. Malgré cela, le pays est parvenu à respecter l’objectif européen de réduction des déficits à 3% du PIB, « ce qui lui permet de sortir des mesures correctrices imposées par l’Union européenne (UE) en cas d’excès », ont noté “Les Echos”. Toutefois, la dette publique atteint désormais 127% du PIB en 2012, contre 120,8% en 2011.
Le vainqueur aux législatives, Pier Luigi Bersani devrait présenter un ordre du jour en sept ou huit points à Giorgio Napolitano, président de la République depuis 2006, lorsque le chef de l’État entamera ses consultations en vue de la formation d’un gouvernement. Sur la question de la formation d’un gouvernement minoritaire, ce dernier a indiqué : « Appelez-le comme vous voulez. Pour moi, c’est le gouvernement du changement ».
De son côté, l’humoriste Beppe Grillo semble, grand gagnant de ces élections, est celui qui pourrait débloquer le pays. Malgré les appels du pied de Pier Liuigi Bersani, en évoquant des thèmes du Mouvement Cinq Etoiles, comme des coupes dans les coûts de la politique et des aides aux chômeurs et travailleurs précaires. Le chef du Mouvement Cinq Etoiles, Beppe Grillo a refusé toute coalition, accusant Luigi Bersani de « harceler politiquement » ses militants et ses élus au parlement et le traitant de « mort vivant ». Luigi Bersani a souligné que, sur la base de son programme, la gauche « demandera au parlement la confiance à qui souhaite la voter ».
Céline Tabou
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